«Le tĂ©moignage de la victime a Ă©tĂ© jugĂ© crĂ©dible et des preuves Ă lâappui ont Ă©tĂ© trouvĂ©es», a dĂ©clarĂ© la police.
Un des principaux suspects a dĂ©clarĂ© aux membres de la presse plus tĂŽt dans lâaprĂšs-midi quâil nâavait pas participĂ© au viol, mais plutĂŽt quâil avait tentĂ© dâaider la victime. «Il viendra un moment oĂč la vĂ©ritĂ© sortira», a-t-il dit.
AprĂšs environ deux semaines dâenquĂȘte, lâĂ©quipe de police qui avait travaillĂ© sur lâaffaire â composĂ©e de plus de 20 enquĂȘteurs â a affirmĂ© avoir trouvĂ© la vĂ©ritĂ©.
Parmi les personnes impliquĂ©es, la police affirme que certains ont participĂ© Ă lâacte tandis que dâautres lâont filmĂ© et documentĂ©.
Avant son arrestation, Maman avait dit Ă N12 quâil nây avait aucune preuve que lâincident sâĂ©tait produit Ă lâhĂŽtel. Cela sâest produit aprĂšs que la police ait annoncĂ© quâelle avait acquis des images de sĂ©curitĂ© de lâhĂŽtel prouvant le contraire.
Peu de temps aprĂšs, lâun des suspects a dĂ©clarĂ© au tribunal quâil «avait vu quelquâun qui ressemblait Ă lâagent de sĂ©curitĂ© de lâhĂŽtel Ă cĂŽtĂ© de la directrice de lâhĂŽtel⊠nous nâavons pas compris pourquoi ils nâont rien fait».
Pendant ce temps, le chef de la sĂ©curitĂ© de lâhĂŽtel a dĂ©clarĂ© Ă N12 que «la fille et son amie Ă©taient impliquĂ©es dans lâaffaire». Bien quâil ait blĂąmĂ© la victime, il a essentiellement admis que le viol avait eu lieu Ă lâhĂŽtel Red Sea.
Une Ă©cole dâEilat dans laquelle une poignĂ©e de suspects mineurs sont inscrits a dĂ©clarĂ© quâelle prendrait un certain nombre de mesures pour Ă la fois examiner leur propre responsabilitĂ© dans lâaffaire et empĂȘcher les futurs Ă©tudiants de lâĂ©tablissement de commettre des actes similaires.
«LâenquĂȘte sur lâaffaire de viol Ă Eilat progresse, mais la rĂ©alitĂ© des femmes en IsraĂ«l est incertaine et nĂ©cessite un changement profond qui doit commencer avant tout par la politique», ont dĂ©clarĂ© les organisateurs de la Marche des femmes dâIsraĂ«l au JĂ©rusalem Post. «Nous devons nous assurer que la culture du viol ne fait pas partie de notre domaine, et nous exigeons ce que nous mĂ©ritons des dĂ©cideurs et des bailleurs de fonds : veiller Ă ce que le plan de prĂ©vention de la violence soit financĂ©, et que les plans et les rĂ©formes en les ministĂšres de la santĂ©, du bien-ĂȘtre, de lâĂ©ducation et de la justice et la police sont exĂ©cutĂ©s. »
«Il y a beaucoup à faire», ont-ils conclu. «Nous faisons ce que nous pouvons. Il est temps pour eux de faire quelque chose aussi.
RĂ©daction francophone Infos Israel News pour lâactualitĂ© israĂ©lienne
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