Pourquoi Galant n’est plus la personne attendue par les soldats de Gaza et du nord et de nombreuses familles israélienne dont le 7 octobre et cette guerre et a touché particulièrement ?
1. En tant que personne prétendant représenter l’aspect étatique du gouvernement, Gallant ne peut pas l’attaquer de l’intérieur, en pleine guerre, et conserver sa position. Il sera honoré et démissionnera.
2. Son opinion selon laquelle Gaza devrait être remise à l’Autorité palestinienne légitime sera respectée et exprimée avec courage et non avec des mots codés.
3. Le concept qui exclut l’existence d’un gouvernement militaire dans la bande de Gaza, même comme solution temporaire, n’est pas séparé des autres concepts du 6 octobre.
4. Le retour de l’Autorité palestinienne ou de toute autre entité dans la bande de Gaza avant l’élimination du Hamas se terminera par l’élimination de l’entité de remplacement.
5. Gallant le sait et tente d’attiser le feu des critiques publiques sur la conduite de la guerre dans laquelle, il convient de le mentionner, il sert en tant que ministre de la Défense et non en tant que spectateur.
6. La critique est en partie injustifiée : pour commencer, nous parlons d’un an ou plus de combats après la manœuvre principale. Le Hamas est aujourd’hui considérablement plus faible qu’il ne l’était – il faut de la patience.
7. Même au sein du bureau du Premier ministre, on dit que « l’Autorité palestinienne *sous sa forme actuelle* ne sera pas en mesure de contrôler la bande de Gaza » – les problèmes avec la déclaration de Gallant sont le style, le timing, les motivations cachées et la concept qui exclut un gouvernement militaire, même comme solution temporaire.
8. Il est clair pour quiconque fait preuve de bon sens que la décision de Gallant est politiquement coordonnée avec celle de Gantz.