Pourquoi seuls les Israéliens devraient-ils perdre à la guerre ? Le deux poids, deux mesures occidental contre Israël

Alors que les combats Ă  Gaza se poursuivent, une vĂ©ritĂ© glaçante Ă©merge avec force : IsraĂ«l est le seul pays au monde qu’on empĂȘche de gagner une guerre. Ce constat n’est pas une exagĂ©ration, mais le fruit d’une analyse rigoureuse du professeur John Spencer, directeur de l’Urban Warfare Institute, qui dĂ©nonce les incohĂ©rences flagrantes et les exigences irrĂ©alistes imposĂ©es exclusivement Ă  l’État hĂ©breu.

Depuis l’attaque du 7 octobre, l’une des plus barbares de l’histoire contemporaine, IsraĂ«l a lancĂ© une opĂ©ration de lĂ©gitime dĂ©fense, conformĂ©ment Ă  l’article 51 de la Charte des Nations Unies. Son objectif est triple : libĂ©rer tous les otages, dĂ©manteler l’appareil militaire du Hamas et empĂȘcher que Gaza ne redevienne un nid terroriste menaçant les civils israĂ©liens.

Et pourtant, l’acharnement mĂ©diatique et diplomatique contre IsraĂ«l n’a jamais Ă©tĂ© aussi intense. Pourquoi ? Parce qu’un pays juif qui se dĂ©fend, qui riposte, et qui gagne – cela dĂ©range.

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Les absurdités des standards appliqués uniquement à Israël

Spencer démonte, point par point, les absurdités logiques et juridiques qui ne sont appliquées à aucune autre nation en guerre :

– On exige d’IsraĂ«l un plan de paix « du jour d’aprĂšs », en plein combat, alors mĂȘme que l’ennemi n’est ni vaincu ni dĂ©sarmĂ©. Quelle armĂ©e dans l’histoire a prĂ©sentĂ© une feuille de route de reconstruction avant la fin des combats ?
– On juge IsraĂ«l sur les chiffres de morts
 fournis par une organisation terroriste ! La propagande du Hamas est prise pour parole d’évangile, alors mĂȘme que le groupe terroriste a fait de la dĂ©sinformation un outil stratĂ©gique.
– On interdit Ă  IsraĂ«l de dĂ©placer temporairement les civils pour les sauver, alors mĂȘme que le Hamas empĂȘche leur Ă©vacuation pour en faire des boucliers humains vivants.
– On criminalise l’usage de bombes en zone urbaine tout en refusant de voir que le Hamas s’est volontairement incrustĂ© sous les hĂŽpitaux, les Ă©coles et les mosquĂ©es pour forcer IsraĂ«l Ă  choisir entre ses soldats et les civils palestiniens.
– On exige qu’IsraĂ«l alimente en nourriture et en carburant ses ennemis, alors mĂȘme que le Hamas continue de tirer des roquettes, de retenir des otages et de fortifier ses tunnels avec ce mĂȘme carburant.

Une guerre oĂč l’on interdit la victoire

Imagine-t-on qu’en 1944, on aurait interdit aux AlliĂ©s d’utiliser l’artillerie Ă  Berlin ou Ă  Stalingrad ? Aurait-on rĂ©clamĂ© Ă  Churchill une solution politique avec les SS avant la chute du Reich ? Exiger d’IsraĂ«l ce qu’on n’a exigĂ© de personne dans aucune guerre moderne, c’est nier Ă  l’État juif son droit le plus fondamental : survivre.

L’une des aberrations les plus frappantes est la demande d’un cessez-le-feu immĂ©diat alors que des otages sont encore dĂ©tenus, affamĂ©s et torturĂ©s. Regardez ce qu’ils ont fait Ă  Évyatar – un jeune homme transformĂ© en squelette par la famine infligĂ©e par ses ravisseurs. Et l’on ose comparer cela aux pĂ©nuries organisĂ©es par le Hamas lui-mĂȘme Ă  Gaza ?

Des solutions réalistes et morales existent

Contrairement au discours ambiant, IsraĂ«l peut encore gagner. John Spencer l’explique clairement :

  1. Déplacement temporaire des civils hors zones de combat, comme cela se fait dans toutes les guerres justes.
  2. Destruction de la volonté de combattre du Hamas par des opérations militaires coordonnées et continues.
  3. Capitulation complÚte du Hamas, avec reddition, désarmement, libération des otages et fin de son pouvoir.
  4. CrĂ©ation d’une autoritĂ© palestinienne locale, dĂ©radicalisĂ©e, capable d’assurer une gouvernance stable et pacifique post-Hamas.

Ce sont des solutions cohérentes, stratégiquement viables, et moralement supérieures à la soumission aux diktats islamistes.

Et maintenant ?

Ceux qui rĂ©clament une « paix immĂ©diate » sans victoire ni justice, ne veulent pas la paix, ils veulent la dĂ©faite d’IsraĂ«l. Une reddition morale. Un abandon des otages. Une abdication face Ă  la terreur.

Mais Israël ne cÚdera pas.

Comme l’écrivait Golda Meir : « On peut pardonner aux Arabes de tuer nos enfants. Mais nous ne pardonnerons jamais qu’ils nous forcent Ă  tuer les leurs. » Cette guerre, nous ne l’avons pas choisie. Mais nous la gagnerons, pour que plus jamais le 7 octobre ne se rĂ©pĂšte.

Par Infos-Israel.News


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