Le BNVCA félicite le Préfet des Hauts de Seine, Monsieur Pierre SOUBELET, pour son action en faveur de la lutte contre la haine et les discriminations en obtenant du Maire Communiste de Gennevilliers, Monsieur Patrice Leclerc, l’annulation du décret qu’il a abusivement promulgué le 21 janvier 2018, dans le but de reconnaître unilatéralement « l’Etat de Palestine ».
Dès le 2 février 2018, le BNVCA, alerté par des administrés des Hauts de Seine, a aussitôt saisi le Préfet des Hauts de Seine qui nous a informé avoir adressé « un recours gracieux » au Maire de Gennevilliers afin d’annuler son décret litigieux. En réponse le maire « palestiniste » de Gennevilliers, contraint de respecter la légalité, informe le Préfet que le 14/2/18 il a pris un nouveau décret annulant celui du 21/1/18.
Cette reculade ridiculise ceux qui pensent outrepasser impunément leurs prérogatives pour tenter d’imposer leur propagande aux citoyens et donner l’impression que leur parti politique n’est pas aussi moribond qu’il parait.
C’est cette même date du 14/2/18 que choisit le Maire Communiste de Bezons Monsieur Dominique Lesparre, pour faire voter un décret du même type reconnaissant abusivement et unilatéralement »L’ETAT DE PALESTINE » au mépris de la sécurité de ses citoyens juifs, et en totale contradiction avec notre Président de la république, notre Ministre des Affaires Etrangères et notre Parlement.
Le BNVCA a décidé de saisir le préfet du Val d’Oise pour lui demander d’user de ses pouvoirs pour faire annuler ce décret sans intérêt pour les habitants de cette commune comme il l’avait fait en 2014, conjointement avec le Tribunal Administratif de Cergy Pontoise en condamnant la Ville de Bezons à retirer la plaque commémorative distinguant un terroriste palestinien.