Interrogé sur des informations selon lesquelles Ankara a entrepris dans le cadre de l’accord une condition, celle d’empêcher le Hamas d’attaquer Israël, le Premier ministre turc a déclaré :
«Ce n’est pas un cessez-le-feu, nous sommes parvenus [seulement] à un accord pour normaliser les relations avec Israël.
Entre temps, le gouvernement se rassure économiquement en affirmant que ce contrat servira à la poursuite du développement du marché du gaz en Israël.
Le Ministre de l’Énergie, Yuval Steinitz a salué la réconciliation avec la Turquie : « L’accord de réconciliation avec la Turquie permettrait aux deux pays d’agir pour que la Syrie ne soit plus un avant poste militaire de l’Iran ».
« En outre, l’accord permettra la poursuite du développement du marché du gaz en Israël, y compris la possibilité de la découverte et développement de champs de gaz », a déclaré Steinitz..