Malgré l’augmentation des tirs depuis le Liban , les ministres estiment encore aujourd’hui (lundi) que Nasrallah n’est pas intéressé par une guerre avec Israël et que tant qu’il n’y aura pas de directive de l’Iran pour agir, il se contentera de tirs « limités »( c’est exactement ce qui a été dit sur le Hamas avant le 7 octobre).
Selon une source politique, à la fin de la guerre, Israël n’a pas l’intention de permettre au Hezbollah de continuer à s’installer sur la barrière frontalière, et cela se fera sous la pression politique ou militaire. En d’autres termes, Israël envisage deux options pour éloigner le Hezbollah de la frontière. Premièrement, mobiliser le soutien international à la demande israélienne et éloigner autant que possible les terroristes de l’organisation d’Israël, garantissant ainsi la sécurité de la frontiere.
La deuxième voie est une action militaire, à laquelle Israël ne s’intéresse pas à ce stade et se contente uniquement d’une défense offensive contre les actions du Hezbollah qui ont déjà coûté des vies humaines de notre côté. « Nous avons intérêt à déconnecter les arènes », a déclaré l’un des ministres à Israel Hayom, ajoutant que « afin d’éliminer le Hamas à Gaza et de sauver les captifs, nous devons nous concentrer sur le sud et continuer à défendre le nord. Pendant ce temps, Nasrallah place la barre plus haut et on voit qu’il est sous pression mais il évite un conflit guerrier tout en continuant de detourner l’attention de Tsahal du sud vers le nord mais combien de temps ?
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