Quand la gauche radicale nie l’évidence : Thomas Portes et le déni stratégique de l’islamo-gauchisme et du racisme antiblanc

Sur X (ex-Twitter), Thomas Portes, député LFI et adepte des déclarations polarisantes, a une fois de plus jeté de l’huile sur le feu. « L’islamo-gauchisme comme le racisme antiblanc n’existent pas. Ce sont des inventions de l’extrême-droite et leurs alliés médiatiques pour déverser leur haine raciste », a-t-il osé écrire, avec la prétention de clore un débat qui agite pourtant la société française et bien au-delà.

Cette posture de déni absolu n’a rien d’innocent : elle traduit un refus idéologique d’affronter des réalités pourtant bien documentées. D’abord, nier l’existence de l’islamo-gauchisme, c’est fermer les yeux sur l’alliance objective et toxique entre une partie de la gauche radicale et les mouvances islamistes qui gangrènent les banlieues, les campus, et certains syndicats universitaires. Cette convergence, où les obsessions anti-occidentales et anti-israéliennes se mêlent à une fascination pour l’islam politique, n’est pas qu’un fantasme d’extrême droite : elle a été dénoncée par de nombreux chercheurs, intellectuels et même par des figures de la gauche républicaine.

Faut-il rappeler la tribune du CNRS, qui avait nié l’existence de ce terme tout en confirmant… les faits qui le caractérisent ? Ou les polémiques récurrentes autour de la censure de conférences, des accusations d’islamophobie lancées contre tout contradicteur, ou encore des alliances douteuses avec des organisations communautaires proches des Frères Musulmans ? Non, tout cela ne serait que le fruit de l’imagination de l’extrême-droite, si l’on en croit Thomas Portes.

Quant au racisme antiblanc, il suffit de sortir de la tour d’ivoire parisienne ou des amphis universitaires militants pour constater sa réalité. En Seine-Saint-Denis, dans certains quartiers de Marseille ou de Lyon, les témoignages s’accumulent d’agressions, d’injures et de discriminations motivées par la couleur de peau… mais cette fois contre les Français dits « de souche ». Des faits qui sont à la fois minimisés par les médias progressistes et invisibilisés par des élus comme Portes, au nom d’une lecture néo-marxiste de la société où, par définition, un Blanc ne peut être victime de racisme. Un contresens absolu.

Ce double déni s’inscrit dans une stratégie politique claire : polariser l’opinion, faire taire la majorité silencieuse et interdire toute critique du communautarisme islamiste sous prétexte de racisme. Et tant pis si cela revient à abandonner des pans entiers de la République aux logiques tribales et à la loi du plus fort. Pendant ce temps, en Israël, on observe avec un mélange de stupéfaction et de lucidité cette fracture française où l’antisémitisme islamiste prospère à l’ombre de la gauche intersectionnelle, quand elle ne l’encourage pas activement.

Cette cécité volontaire face à l’islamo-gauchisme et au racisme antiblanc est un luxe dangereux. Elle nourrit le ressentiment, le repli identitaire et prépare le terrain aux extrêmes de tous bords. Pendant que Thomas Portes tweete, les Français qui vivent dans les zones abandonnées par la République, eux, constatent que les discours idéologiques ne les protègent pas de la haine… surtout quand elle ne correspond pas à la bonne couleur de peau dans le logiciel militant.

Il serait peut-être temps que ces élus et influenceurs déconnectés du réel viennent faire un tour là où la France « périphérique » vit, souffre et subit. Et qu’ils cessent de mépriser ceux qui osent simplement demander qu’on regarde la réalité en face.

👉 Pour mieux comprendre les implications de cette fracture identitaire qui menace l’Europe et Israël, lisez nos dossiers :
https://infos-israel.news/category/israel/
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https://rakbeisrael.buzz/
https://alyaexpress-news.com/

Et pour en savoir plus sur le Hamas, fer de lance de l’islamisme politique :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hamas

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