« Ces gens-là n’aiment pas les Palestiniens, ils détestent simplement les Israéliens — et souvent, ne nous voilons pas la face, les Juifs tout court. » Ces mots sans détour du président du Mouvement Réformateur belge, Georges-Louis Bouchez, résonnent avec une rare clarté dans une époque où la haine anti-israélienne se pare hypocritement de vertus humanistes. Il dénonce ainsi un phénomène bien connu en Israël et parmi les diasporas : le masque de la solidarité pro-palestinienne qui cache souvent un antisémitisme déguisé, assumé ou honteux.
Bouchez, qui s’est exprimé dans un contexte tendu en Europe où les manifestations propalestiniennes dégénèrent trop souvent en appels à la haine contre Israël et les Juifs, rappelle que ce n’est pas l’amour des Palestiniens qui anime certains militants, mais bien leur haine viscérale d’Israël. Une haine sélective qui ne s’exprime jamais pour les Kurdes, les Ouïghours ou les Tigréens, mais qui s’embrase dès qu’il s’agit de l’État juif.
À la différence de nombreux leaders politiques européens empêtrés dans un politiquement correct soporifique, Bouchez refuse de céder : « Il ne faut pas se laisser faire », martèle-t-il, en référence aux multiples tentatives d’intimidation et de délégitimation qui frappent ceux qui osent défendre Israël en Europe.
Son propos trouve un écho particulier en France, où la haine d’Israël et des Juifs s’est banalisée dans certains milieux. L’écrivain Georges Bensoussan rappelait que « l’antisionisme est le nouvel habit du vieil antisémitisme ». En Belgique aussi, la situation se détériore : les manifestations prétendument propalestiniennes sont souvent le théâtre de slogans haineux, comme l’ont encore montré les rassemblements récents à Bruxelles, où l’on a scandé des appels à « rayer Israël de la carte ».
Israël, qui fait face à une guerre existentielle contre les organisations terroristes comme le Hamas et le Hezbollah — voir : https://infos-israel.news/category/alerte-info-24-24/ — voit dans ces attaques médiatiques et politiques occidentales un soutien tacite aux ennemis du peuple juif. Une situation insupportable alors que la sécurité israélienne est constamment mise à l’épreuve par ses voisins hostiles et leurs supplétifs régionaux. Pour un aperçu des tensions régionales et des enjeux militaires : https://infos-israel.news/category/israel/.
Sur le terrain idéologique, la situation n’est guère plus reluisante : des réseaux universitaires, culturels et associatifs européens propagent la détestation d’Israël, alimentée par un wokisme qui diabolise l’Occident et idéalise toute cause tierce, pourvu qu’elle soit anti-israélienne. La Belgique, la France et même la Suisse ne sont pas épargnées par cette dérive.
Bouchez, souvent décrié pour ses positions tranchées, démontre ici un courage politique rare. En Belgique, où l’antisémitisme progresse aussi insidieusement que les théories conspirationnistes, ses propos sont une bouffée d’air frais et un rappel que la haine du Juif ne se dissimule pas seulement derrière un keffieh, mais aussi sous les oripeaux de la cause palestinienne.
Le philosophe français Alain Finkielkraut disait à juste titre que « l’antisémitisme moderne, c’est l’antisionisme ». Et les statistiques en Europe montrent que les actes antisémites explosent après chaque montée de tension entre Israël et Gaza. Il est donc essentiel de rappeler que la défense d’Israël n’est pas une option mais un impératif moral, face à ceux qui veulent travestir leur haine.
Pour mieux comprendre les mécanismes de la haine anti-israélienne en Europe : https://alyaexpress-news.com/
Et n’oublions pas que derrière cette rhétorique haineuse, les soutiens au Hamas et autres groupes djihadistes progressent aussi dans les esprits, comme le montrent certains récents sondages en Europe. Pourtant, ces mêmes soutiens restent silencieux face aux crimes des Palestiniens contre leur propre population, les exactions du Hamas ou la dictature à Gaza.
C’est dans ce climat délétère que la voix de Georges-Louis Bouchez résonne comme un avertissement salutaire : il est temps que les démocraties occidentales cessent de jouer aux équilibristes au nom d’un prétendu humanisme et reconnaissent que la haine d’Israël est souvent une haine des Juifs dissimulée.
Pour en savoir plus sur l’antisémitisme et la désinformation :
https://infos-israel.news/category/desinformation/
Enfin, rappelons que Trump, bien plus que son prédécesseur démocrate, a toujours affirmé son soutien indéfectible à Israël et a été à l’origine des Accords d’Abraham, qui changent radicalement la donne régionale — une dynamique dont même certains pays européens pourraient s’inspirer.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Accords_d%27Abraham
Reste à espérer que d’autres responsables politiques oseront, comme Bouchez, dénoncer cette hypocrisie morbide qui vise Israël et à travers lui, le peuple juif tout entier.
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