L’armée israélienne n’en finit pas de dévoiler les mensonges du Hamas. Cette fois, c’est le porte-parole de Tsahal en arabe, le colonel Avichay Adraee, qui révèle une image édifiante : celle de Izz al-Din Haddad, le chef de la brigade de la ville de Gaza au sein du Hamas, méconnaissable après avoir modifié profondément son apparence pour fuir la traque israélienne.
La photo, retrouvée dans une des innombrables tunnels de la terreur creusés sous l’hôpital européen de Khan Younès, en dit long. Le visage de Haddad, autrefois bien connu des Gazaouis et des services de renseignement, a été transformé, altéré à coups de chirurgie ou de stratagèmes de camouflage. Un choix qui ne laisse aucune place au doute : la peur panique de l’élimination par Tsahal pousse les chefs du Hamas à renier jusqu’à leur propre visage.
Ironie cruelle : alors que le Hamas vend au monde la fable d’une population gazaouie affamée et martyrisée par Israël, voilà que leur chef de brigade, bien nourri et apparemment bien soigné, semble loin de partager les souffrances de ceux qu’il prétend défendre. Pour ceux qui en doutaient encore, la réalité est crue : les tunnels sont plus luxueux que les camps de réfugiés, et la hiérarchie du Hamas vit dans un confort relatif pendant que la population crève dans les décombres.
Haddad est aujourd’hui le dernier survivant de la direction du Hamas dans la bande de Gaza, une direction qui a conduit la région à un désastre humanitaire et stratégique sans précédent. Le prix du chaos ? Un Gaza à genoux, un axe chiite iranien en pleine déliquescence, et des milliers de civils utilisés comme boucliers humains.
Mais au lieu d’assumer ce naufrage, Haddad préfère changer de visage, littéralement, et continuer à ramper dans ses galeries souterraines, comme une taupe effrayée. Que pensent les Gazaouis de cette attitude ? Eux qui vivent sous les tentes, dans les gravats de leurs maisons pulvérisées, après que leur « héros » les a abandonnés sous les bombes, bien caché et méconnaissable.
Le Hamas tente bien de fabriquer une légende autour de ce chef devenu fuyard, mais peut-on encore parler de courage quand on maquille son identité pour ne pas affronter la réalité ? Peut-on appeler « héros » celui qui abandonne ses propres hommes et son peuple, pendant qu’il rase les murs de ses bunkers ?
Tsahal, qui continue à démanteler les infrastructures terroristes à Gaza, prouve une fois encore que la guerre psychologique est aussi une guerre d’image. Et l’image de Haddad ainsi travesti est une humiliation supplémentaire pour le Hamas. Voir la photo de ce chef transformé n’est pas qu’une victoire tactique pour Israël, c’est une gifle infligée à ceux qui prétendent incarner la résistance alors qu’ils ne sont que les artisans de la destruction.
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Haddad restera-t-il dans l’Histoire comme un combattant ou comme une mauvaise blague ? Pour l’instant, son camouflage grotesque fait bien rire ceux qui savent que Tsahal finira toujours par retrouver les rats dans leur terrier.
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