Le grotesque ne connaît pas de limite dans la propagande du Hamas. Alors que ses réseaux terroristes s’effritent jour après jour sous la pression des opérations de Tsahal à Gaza, l’organisation a diffusé une « mise en garde sévère » aux habitants de la bande : interdiction de publier des photos ou des informations concernant les combattants tués.
Oui, vous avez bien lu. Non seulement le Hamas sacrifie sa population en transformant Gaza en champ de bataille, mais il exige maintenant que les familles et voisins des terroristes morts… se taisent. Pourquoi ? Parce que la vérité dérange.
Le vrai motif derrière la censure
Officiellement, le Hamas prétend que diffuser ces images « met en danger les familles des défunts » et « aide Israël à identifier d’autres combattants ». Une justification bancale, qui cache en réalité une double crainte :
- Révéler l’ampleur des pertes : admettre que les brigades armées sont décimées.
- Exposer la nature des tués : bien des soi-disant « civils » pleurés par l’ONU ou relayés par les médias occidentaux s’avèrent être des membres actifs du Hamas.
C’est ici que l’arme israélienne la plus redoutée n’est pas un drone, mais… la vérité numérique. Chaque photo publiée par un habitant de Gaza devient une preuve, que les services de renseignement israéliens utilisent pour confirmer l’identité des terroristes éliminés.
L’intelligence artificielle au service de Tsahal
Selon l’avertissement du Hamas lui-même, Israël exploite ces photos pour « améliorer ses systèmes d’intelligence artificielle ». Autrement dit : plus les habitants postent de clichés, plus l’armée israélienne affine sa capacité à reconnaître et cibler les cellules terroristes restantes.
Une ironie cruelle pour les propagandistes islamistes : leur obsession à contrôler l’image des « martyrs » se retourne contre eux. La guerre de l’information, que le Hamas croyait dominer avec ses mises en scène, lui échappe désormais complètement.
Une tentative désespérée de garder la main sur la narration
Cet appel à la censure ne vise pas seulement Israël, mais surtout l’opinion publique internationale. Le Hamas sait que l’écart entre ses communiqués et la réalité est de plus en plus visible. En interdisant les habitants de publier librement, il cherche à maintenir une façade : « Nous ne perdons pas autant de combattants que Tsahal le prétend ».
Mais la population de Gaza, lasse d’être utilisée comme chair à canon, finit par briser le silence. Dans les réseaux sociaux clandestins circulent déjà des noms, des visages, et des preuves irréfutables que le Hamas subit des pertes massives.
Tsahal et la transparence, le Hamas et l’opacité
Alors qu’Israël publie régulièrement des données, images satellites et vidéos de frappes confirmant la neutralisation d’objectifs militaires, le Hamas en est réduit à interdire… des photos de funérailles. Cela en dit long sur l’état de panique de l’organisation.
Le contraste est frappant :
- Israël mise sur la transparence, au risque d’être critiqué, mais gagne en crédibilité.
- Le Hamas impose le silence, confirmant qu’il a tout à cacher.
Conclusion : une guerre perdue d’avance
La décision du Hamas est le signe d’une organisation en perte de contrôle. Quand un mouvement terroriste doit menacer sa propre population pour cacher ses morts, c’est qu’il a déjà perdu la bataille morale.
Comme l’a dit récemment un analyste militaire israélien : « Le Hamas voulait dominer le récit. Aujourd’hui, ce sont ses propres habitants qui menacent son mensonge. »
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