Encore une fois, l’ONU, par la voix de Philippe Lazzarini, chef de l’UNRWA, choisit de répéter la propagande du Hamas. Dans un message publié sur X, il affirme qu’« il est temps que le gouvernement israélien cesse de nier la famine qu’il a créée à Gaza ». Des mots calibrés, dramatiques, repris par Le Monde et d’autres médias occidentaux sans la moindre vérification.
Vendredi, l’ONU a même franchi un cap en déclarant officiellement un état de famine, accusant directement Israël. Pourtant, la réalité est claire : Israël n’a jamais affamé Gaza. Ce sont le Hamas et ses milices qui détournent systématiquement l’aide humanitaire, empêchent les civils de fuir les zones de combat et transforment chaque sac de farine en instrument de chantage.
La famine, une arme politique
Les experts israéliens rappellent que des centaines de camions chargés de nourriture, médicaments et carburant traversent chaque semaine les points de passage, sous contrôle de Tsahal. Israël a même facilité l’installation d’hôpitaux de campagne par les Émirats et la Jordanie. Mais une fois arrivées, les cargaisons sont saisies par le Hamas.
➡️ Les denrées sont revendues au marché noir, stockées dans les tunnels, ou réservées aux familles des combattants.
➡️ Des vidéos circulant sur Telegram montrent des militants armés distribuant l’aide en échange de loyauté politique.
Résultat : les civils les plus vulnérables, ceux que l’ONU prétend défendre, sont les premiers sacrifiés par leur propre « gouvernement ».
UNRWA : juge et partie
Difficile de prendre au sérieux les cris d’alarme de l’UNRWA quand on sait que plusieurs de ses employés ont été identifiés comme membres actifs du Hamas ou du Jihad islamique. Certains ont même participé directement aux massacres du 7 octobre. Israël a fourni des preuves accablantes, mais l’ONU préfère détourner le regard.
Plutôt que de condamner les terroristes qui volent les vivres, Lazzarini préfère accuser Israël, l’unique acteur de la région qui assure encore l’acheminement d’une aide massive.
Netanyahu : « Les seuls affamés délibérés sont nos otages »
La réponse de Benyamin Netanyahou ne s’est pas fait attendre. Le Premier ministre israélien a qualifié le rapport de l’ONU de « mensonge éhonté », en rappelant une vérité que l’ONU ne veut pas entendre :
👉 « Les seuls à être délibérément affamés à Gaza sont les otages israéliens. »
Depuis bientôt deux ans, des dizaines d’hommes, de femmes et d’enfants enlevés le 7 octobre survivent dans les tunnels du Hamas, privés de soins, de lumière et de nourriture. Mais sur ce drame, Philippe Lazzarini garde un silence assourdissant.
La famine qui n’existe pas
Il est révélateur que, malgré les déclarations fracassantes, aucune ONG indépendante n’ait confirmé l’existence d’une famine généralisée. On parle de malnutrition localisée, aggravée par les pillages du Hamas. Mais pour l’ONU, le mot « famine » est un outil rhétorique puissant : il permet d’alimenter la campagne internationale visant à imposer un cessez-le-feu — autrement dit, à sauver le Hamas de la défaite militaire.
Quand l’ONU se trompe de cible
Chaque fois que l’ONU accuse Israël, elle conforte le Hamas dans sa stratégie : utiliser les civils comme boucliers, détourner l’aide, et accuser Tsahal.
Chaque fois que l’ONU répète les chiffres du ministère de la Santé de Gaza, elle devient complice d’une organisation terroriste.
Chaque fois que l’ONU parle de « famine créée par Israël », elle renforce l’antisémitisme mondial, déjà en plein essor.
Conclusion : vérité affamée, mensonge nourri
Il n’y a pas de famine créée par Israël. Il y a une manipulation créée par le Hamas et servie sur un plateau par l’ONU. Et pendant que Lazzarini tweete, ce sont les terroristes qui rient : une institution censée protéger les civils fait leur travail de propagande à leur place.
La seule famine qui existe aujourd’hui, c’est celle de la vérité.
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