Cette réponse pourrait être donnée par Kalman Liebskind, journaliste sur le site Maariv :
Je ne sais pas qui va gagner les élections qui se dérouleront cette semaine, mais je sais déjà qui a déjà perdu. Ce sont les médias israéliens qui ont perdu. Les 29% d’Israéliens qui, selon le dernier sondage de l’institut pour la démocratie, leur font encore confiance, ont perdu. La démocratie israélienne qui devra découvrir de nouveaux moyens d’exister, sans véritable « Quatrième pouvoir », a perdu.
Si, en 1999, les mass-médias ont tenté de nous faire haïr Binyamin Netanyahou, cette fois-ci, ils sont passés à la vitesse supérieure. Cette fois-ci, pour être certain qu’il partira sans revenir, ils ont choisi de nous faire détester le pays qu’il dirige. De nous le dessiner comme s’il était au bord du précipice. Comme si le chaos régnait. Tout va mal. Tout le monde est pauvre. Tout le monde a faim. Il n’y a pas de travail. Pas de moyens de subsistance. Pas d’emplois. Pas de santé. Pas de services sociaux. Que du désespoir.
Ce fut une tentative manipulatrice de créer un sentiment de tohu bohu, pour nous convaincre qu’il n’est plus possible de continuer ainsi.
La situation est, en effet loin d’être parfaite. Et pourtant, lorsque j’ai regardé les sondages publiés par l’institut pour la démocratie, j’ai appris que 66% des Israéliens affirmaient que leur situation personnelle était « bonne », voire « très bonne ». Seuls 17% ont déclaré que la situation générale du pays était « mauvaise » ou « très mauvaise ». « Le public est plus positif, concernant la situation personnelle et nationale, que ce qui se dessine dans les médias », concluaient les rédacteurs du rapport.Article aimé par nos lecteursNetanyahou n’avait pas la moindre chance. Depuis que les élections ont été annoncées, les médias l’ont placé sur une croix et ont tiré. Quoi qu’il fasse, il n’a jamais obtenu de couverture positive. Chaque parole a été moquée. Tous les moyens étaient bons pour atteindre l’objectif : le détrôner.
Les généraux à la retraite qui ont envoyé une lettre selon laquelle Netanyahou était dangereux pour la sécurité du pays ont été accueillis en grandes pompes par la presse, qui ne s’est pas souciée de leur rappeler que leurs recommandations, et celles de leurs amis, ont été quasiment toujours néfastes. Ce sont ces généraux qui nous ont conseillé de signer les accords d’Oslo, qui se sont soldés par des rivières de sang. Ce sont ces généraux qui nous ont juré que si nous quittions la bande de Gaza, les tirs de missiles prendraient fin. Ce sont ces généraux qui ont signé des pétitions, appelant à renoncer au Plateau du Golan et le transmettre à Assad : si nous les avions écoutés, les soldats de Djabet Al Noussra auraient fait griller des poissons à Ein Gev. Amis aujourd’hui, ils nous aident à faire tomber Netanyahou, il n’y a donc pas de raison de leur poser des questions difficiles.
L’ancien chef du Mossad, Méir Dagan, avait été décrit par le Yédiot Aharonot comme le responsable de tous les échecs et des mauvaises estimations de l’appareil sécuritaire. Il a été critiqué pour son implication dans les échecs du Mossad, le mauvais système de renseignement en Irak, face aux Palestiniens, à Nassrallah et au Hezbollah en général. Bref, un zéro pointé. Mais à partir du moment où il a ouvert la bouche contre Netanyahou, les archives n’avaient plus d’importance. Dagan est devenu celui qui comprend tout, le sage parmi les hommes, le plus responsable. Lui et seulement lui.
La déclaration d’Herzog, selon laquelle « il ne repousse pas » l’idée de nommer à la commission parlementaire de la Défense (une commission où se déroule des débats classés généralement Top Secret NDLT) Ahmed Tibi, cet admirateur de l’assassin de Juifs, Arafat, aurait dû soulever un débat quant aux positions du leader du Camp sioniste, mais le temps est au renversement de pouvoir, et donc ce débat n’a pas eu lieu.
A chaque moment, une nouvelle crise a éclaté. Des sujets dont la presse ne s’est pas préoccupée durant ces dernières années ont obtenu la Une des journaux. On aurait pu croire que l’État d’Israël approchait de sa fin. Six jours avant les élections, un mouvement de jeunesse a lancé une campagne visant à « sauver le million d’enfants qui ont faim ». Les médias en ont fait un item de choix, alors qu’ils savent pertinemment qu’il s’agit d’un mensonge éhonté. Il n’y a pas en Israël un million d’enfants pauvres qui ont faim. Car cela signifierait qu’un tiers de la population fait les poubelles… Mais aujourd’hui, tout est permis. »
Avec Barak Hussein Obama et ses sbires antisémites, les pressions que l’on a connu de ma part de Clinton, pour faire élire Ehud Barak voici quelques années ont atteint des sommets qui mériteraient une enquête judiciaire approfondie après les élections de mardi prochain.
Une telle bassesse, de tels mensonges, de semblables calomnies de la part des médias de gauche et de ceux qui se prétendent du parti « sioniste » pour mieux tromper les électeurs, ne se sont encore jamais vus dans notre pays qui pourtant n’est pas un modèle de fairplay lors du renouvellement des membres de la Knesset.
Que D’ieu nous aide à trouver QUI défend notre Pays, QUI respecte notre Loi, Qui est prêt à œuvrer pour l’Avenir du Peuple Juif.
A l’évidence le choix simple ! Je voterai pour de véritables Sionistes, il y en a !
Akerman Michel Israël