Des membres du renseignement américain ont mis en garde contre des preuves de plus en plus nombreuses que l’Iran et le Hezbollah ont pu réveiller de vieilles cellules terroristes aux États-Unis et en Europe pouvant être utilisées pour mener des attaques terroristes, en guise de vengeance pour le meurtre de l’archi terroriste et commandant des Gardes de la Révolution iranien Qassem Suleimani.
Les inspecteurs ont déclaré qu’il y avait un nombre croissant d’indices d’une éventuelle attaque aux États-Unis, ou contre les intérêts américains à l’étranger, ils ont également averti que Téhéran pourrait permettre des attaques de vengeance sur le sol américain.
Les chercheurs ont cité 7 indicateurs de préparation à la planification des ces attaques par l’Iran et le Hezbollah. Ces indicateurs vont de la surveillance du lieu de l’attaque, de la planification logistique à la mise en place de consignes, au camouflage, à l’infiltration, au recrutement et à la sélection des cibles.
Selon le renseignement américain, cette acte de vengeance peut être suffisamment précise pour transmettre un message clair, mais pas si extrême afin d’éviter une réponse trop puissante des Etats Unis contre le régime iranien. Cette même méthode a été utilisée pour la vengeance à l’assassinat de dirigeants du Hezbollah, tels que l’ancien secrétaire et général Abbas Musawi et le commandant militaire du Hezbollah, Mournyeh.