Révélations explosives : le général iranien n’a pas été tué dans un raid israélien, mais éliminé à Téhéran par le Mossad

Une onde de choc traverse l’Iran depuis que la fille du général Ali Shadmani, ancien commandant du réseau de défense aérienne « Khatam al-Anbia » des Gardiens de la révolution, a affirmé dans une interview à un média local que son père n’a pas été tué dans un bombardement israélien, comme l’avait officiellement déclaré le régime, mais abattu par des agents du Mossad en plein cœur de Téhéran.

Ce témoignage, aussi troublant qu’embarrassant pour le régime des mollahs, remet en cause la version officielle transmise par les médias d’État iraniens et relayée par le porte-parole de Tsahal, qui avait attribué la mort de Shadmani à une frappe aérienne dans le contexte de la guerre au Liban ou en Syrie.

Selon sa fille, les circonstances exactes de la mort du général n’ont rien à voir avec un raid aérien : il aurait été tué dans une opération terrestre menée par des agents israéliens opérant à l’intérieur même de Téhéran. Elle évoque « une poursuite courte mais décisive », qui aurait mené à une élimination ciblée, et dénonce un « récit officiel déformé, peut-être volontairement, pour dissimuler l’ampleur de l’infiltration ».

Le général Ali Shadmani, considéré comme une pièce maîtresse du développement des systèmes de défense antiaérienne, de la technologie des missiles balistiques et des drones militaires iraniens, était un homme de confiance de la hiérarchie militaire du régime. Son rôle stratégique faisait de lui une cible prioritaire pour les services israéliens, d’autant plus dans un contexte où les tensions militaires entre Israël et l’Iran s’intensifient à plusieurs fronts — du Liban à la Syrie, en passant par l’Irak et le Yémen.

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Cette nouvelle hypothèse n’a pas encore été confirmée officiellement par d’autres sources iraniennes, mais elle trouve un écho dans plusieurs précédents où des hauts gradés iraniens, ou des scientifiques liés au programme nucléaire, ont été éliminés dans des circonstances mystérieuses, souvent en plein Téhéran. Des actions attribuées à des « agents étrangers », terme codé souvent utilisé pour désigner… le Mossad.

L’affaire relance donc les spéculations sur le degré d’infiltration d’Israël en territoire iranien, qui semble de plus en plus profond, précis, et surtout, impuni. Si cette version des faits se confirme, il s’agirait d’un camouflet retentissant pour les services de sécurité de la République islamique, incapables d’assurer la sécurité de leurs propres généraux dans la capitale.

Le silence du régime, déjà embarrassé par la multiplication des sabotages d’infrastructures stratégiques, des incendies inexpliqués et des explosions dans des bases sensibles, ne fait qu’accroître le malaise. Cette élimination présumée d’un haut gradé iranien par des agents du Mossad en plein Téhéran démontre une audace opérationnelle impressionnante de la part des services israéliens, mais aussi une faiblesse structurelle croissante du régime de Téhéran.

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L’écho médiatique est d’autant plus retentissant que l’ancien président américain Donald Trump a récemment dévoilé que l’Iran avait bloqué un accord sur les otages, ajoutant qu’Israël « savait exactement où ils étaient détenus », soulignant une nouvelle fois la profondeur des renseignements israéliens sur les affaires internes du régime.

Avec ces révélations, un voile se lève sur les véritables capacités opérationnelles du Mossad à pénétrer l’appareil sécuritaire iranien. Ce qui autrefois relevait du mythe devient une réalité géopolitique tangible et inquiétante pour Téhéran.

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