L’histoire jugera peut-être cette opération comme l’un des coups les plus audacieux de l’armée israélienne depuis Entebbe. Selon des révélations explosives publiées ce lundi, Israël a failli pulvériser le cœur du régime iranien – à 90 secondes près. Une frappe massive sur les symboles du pouvoir à Téhéran n’a été évitée qu’après un appel de dernière minute entre Donald Trump et Benjamin Netanyahou. Le monde n’aura sans doute jamais été aussi proche d’une guerre totale au Moyen-Orient.

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L’opération “Tornade” : à un souffle de l’apocalypse

C’était le 9 juin 2025. Le nom de code : “Tornade”. Objectif initial : anéantir les centres du pouvoir à Téhéran, en réponse à une attaque de missile iranien qui a tué cinq civils israéliens à Be’er Sheva – juste avant l’entrée en vigueur d’un cessez-le-feu. L’ordre de lancement était prêt. Les chasseurs israéliens déjà en vol. Le compte à rebours enclenché. Et puis, soudain, Trump appelle Netanyahou : “Arrêtez tout.”

C’est Israël Katz, ministre de la Défense, qui raconte :

“J’étais au bureau, je recevais les mises à jour en direct. Les avions étaient à une minute et demie de la cible. Sur une ligne, j’avais le secrétaire militaire du Premier ministre. Sur une autre, le chef d’état-major. Et en arrière-plan, j’entendais Trump dire à Bibi de tout stopper. J’ai donné l’ordre de ne frapper que les radars.”


De février à mai : la préparation méticuleuse de la guerre

Les préparatifs de l’opération avaient commencé dès février 2025, dans le plus grand secret. La doctrine : neutraliser les capacités nucléaires iraniennes sans provoquer un effondrement du régime, mais en lui infligeant un coup stratégique suffisant pour stopper son avancée.

Trois options étaient sur la table :

  1. Une frappe israélienne seule (impact limité)
  2. Une frappe avec soutien américain aérien ou logistique
  3. Une opération conjointe avec les États-Unis, la seule jugée capable de dissuader durablement Téhéran.

C’est l’option 3 qui a été validée. Selon Katz, “avril était le moment idéal”, car “le croissant chiite était affaibli” et Trump était de plus en plus convaincu de la nécessité d’agir.

📌 Sur le programme nucléaire iranien : fr.wikipedia.org/wiki/Programme_nucléaire_de_l’Iran


Le nom de code : “Hila”, puis “Tornade”

Le plan stratégique initial portait le nom de “Hila”, puis fut segmenté en plusieurs sous-opérations :

  • “Narnia” pour éliminer les scientifiques nucléaires
  • “Tornade” pour frapper les centres de commandement des Gardiens de la révolution
  • Et une manœuvre de “stand-in” pour maintenir la pression constante.

Le cœur de la stratégie ? Créer un choc psychologique profond et ralentir la capacité de réponse de l’Iran.

Une guerre secrète qui a bien failli basculer

À 36 heures du lancement, plus de 10 000 soldats étaient déjà impliqués. Les risques de fuite augmentaient. Et l’un des éléments les plus cruciaux du plan consistait à tromper les services de renseignement iraniens.

Un exercice de diversion fut orchestré pour pousser les hauts commandants iraniens à rester dans leur QG. Résultat : l’un des chefs de l’armée de l’air iranienne, le général Hajizadeh, est resté à sa base secrète, où il a été ciblé par les frappes. Le bluff israélien a donc fonctionné au-delà de toute attente.

Israël voulait “neutraliser” Khamenei

La révélation la plus explosive du rapport vient de cette phrase de Katz :

“Si Khamenei avait été sur la cible, nous l’aurions éliminé.”

Ce n’est pas une déclaration en l’air. Le guide suprême, Ali Khamenei, a été placé sous surveillance constante, et Israël a envisagé un frappe chirurgicale sur sa localisation. Il ne s’y trouvait pas, mais l’intention démontre l’audace – ou la témérité – du plan.

📌 En savoir plus sur Ali Khamenei : fr.wikipedia.org/wiki/Ali_Khamenei

Trump, l’allié hésitant devenu partenaire actif

Initialement réticent, Trump a finalement donné “le feu vert stratégique”, tout en maintenant des limites : pas de frappe trop “spectaculaire” sur des cibles civiles ou symboles religieux. Les États-Unis ont refusé de fournir des avions ravitailleurs, mais ont autorisé le survol de l’Irak et apporté une couverture radar partielle.

Le problème majeur, selon les conseillers américains, était la vulnérabilité de leurs bases dans le Golfe en cas de riposte massive. Trump craignait “des milliers de morts américains”.

Une guerre limitée mais déterminante

Selon Katz, le but n’était pas le changement de régime. L’objectif était de forcer l’Iran à revenir à la table des négociations, affaibli, humilié et incertain de ses capacités. Une guerre de 7 jours, une démonstration de force, et un retrait.

Et c’est exactement ce qui s’est produit. À la fin de l’opération :

  • Les sites nucléaires majeurs ont été endommagés
  • Le moral du régime iranien a vacillé
  • Les Gardiens de la Révolution ont perdu des chefs clés
  • Et surtout, le monde a vu qu’Israël peut frapper où et quand il le veut

Conclusion : le bluff israélien a désarmé l’Iran

Jamais Israël n’a été aussi proche d’un “coup de grâce” contre Téhéran. Et jamais le monde n’a été aussi près d’un cataclysme militaire. Ce qui a sauvé la région, ce ne sont pas les missiles, mais une ligne téléphonique ouverte entre deux dirigeants.

Et si ce n’était que le premier acte ?

Par Infos-Israel.News

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