Dans une révélation stupéfiante qui témoigne de l’ampleur stratégique du dernier conflit avec l’Iran, il a été dévoilé que Tsahal a activé pour la première fois de son histoire un “État-major alternatif”, surnommé « Matkal HaTzelalim » – “l’État-major des ombres” – afin de garantir la continuité du commandement en cas de frappe létale sur la hiérarchie militaire israélienne.

Cette unité secrète et ultra-préparée, dirigée par le général de division Tamir Yadai, actuel vice-chef d’état-major, comprenait des officiers en fonction et des généraux de réserve triés sur le volet, tous briefés à l’avance sur les plans complets de guerre avec l’Iran. Leur mission : prendre immédiatement les rênes opérationnelles si le chef d’état-major Eyal Zamir ou l’état-major général étaient neutralisés par une frappe iranienne.

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Une leçon tirée… de Téhéran

Ce scénario, autrefois considéré comme extrême, a été intégré dans la doctrine israélienne après le succès de Tsahal à décapiter le haut commandement iranien durant l’opération « Im Kolavi », qui a visé et éliminé :

  • Le chef d’état-major iranien
  • Le directeur du renseignement militaire
  • Le commandant de l’armée de l’air
  • Le responsable de la défense anti-aérienne

Ce coup dur porté à Téhéran a paralysé pendant plusieurs jours la capacité de réponse iranienne, prouvant que l’élimination de la chaîne de commandement est un levier stratégique décisif. Israël, anticipant une riposte similaire, a décidé de ne pas laisser la direction de Tsahal sans filet de sécurité.

Une base secrète coupée du monde numérique

Installé dans un complexe inconnu, complètement déconnecté des réseaux de communication traditionnels, cet État-major bis a été protégé contre les frappes de missiles, les attaques par drones et les intrusions cybernétiques. Ce dispositif n’a été activé qu’en prévision d’un “scénario noir” de perte totale de commandement, qui ne s’est finalement pas matérialisé – mais dont la seule existence souligne le niveau de risque jamais atteint pendant cette guerre éclair de douze jours.

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Une riposte iranienne plus proche que jamais

Téhéran n’est pas restée inactive. Des frappes de missiles de précision et de drones ont visé le complexe militaire Kirya au cœur de Tel-Aviv. L’un des projectiles s’est abattu à proximité de la tour Da Vinci et du centre Azrieli. D’autres attaques auraient atteint des bases comme Tel Nof, selon le Telegraph britannique. Le système israélien de défense aérienne a intercepté plusieurs menaces, mais la tension est montée à un niveau inédit.

Une coordination millimétrée de l’état-major réel

En parallèle, l’état-major officiel poursuivait l’opération depuis son QG :

  • Eyal Zamir, chef d’état-major
  • Oded Basiuk, chef des opérations
  • Shlomi Binder, chef du renseignement militaire
  • Tomer Bar, chef de l’armée de l’air
  • Rafi Milo, chef de la défense civile

En étroite coordination, ces officiers ont mené une campagne d’une précision chirurgicale, saluée par des experts militaires internationaux comme l’une des plus efficaces opérations aériennes depuis l’affaire Osirak.

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Bilan stratégique : Israël frappe fort, mais reste vulnérable

Malgré le succès apparent, les défis ne manquent pas. La guerre a vidé certains stocks stratégiques, et Tsahal réclame un budget d’urgence pour renforcer les capacités de dissuasion : munitions de précision, systèmes antiaériens et reconstitution des stocks logistiques.

Les analystes estiment que l’Iran tirera des leçons de cet affrontement : renforcement de son programme balistique, accélération du programme nucléaire, et multiplication des moyens de guerre asymétrique.

Briser le miroir des illusions

Cette révélation sur l’existence d’un “État-major fantôme” confirme que Tsahal ne croit plus à l’immunité de sa hiérarchie, et se prépare désormais à des guerres totales et ciblées en simultané. Une nouvelle doctrine du “jour d’après” est en gestation – fondée sur la continuité, la résilience et l’automatisation de la chaîne de commandement.

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