Il y a exactement 67 années, le 29 Novembre 1947, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution à la fin du mandat britannique de la Palestine et la création d’un territoire sous mandat de deux États indépendants – Juifs et Arabes.

La date du 29 Novembre (Kaf-Tet Be-novembre) rappelle la reconnaissance internationale du droit du peuple juif à leur État national, immortalisé dans les noms de nombreuses rues israéliennes. Aucun événement officielle pour ce jour n’a été réalisé.

Seul reste le souvenir de ses jours passionnants où toute la population juive de la Palestine mandataire et des millions de Juifs du monde entier, retenaient leur souffle, après avoir suivi le scrutin à l’ONU.

Ce vote à l’ONU n’a duré que trois minutes, la France avait voté oui, comme les États Unis. Le plan a été approuvé par l’Assemblée générale des Nations Unies par 33 voix contre 13, avec 10 abstentions.

Il était prévu de diviser le territoire de la Palestine mandataire en États juifs et arabes, avec l’agglomération de Jérusalem, y compris Bethléem, à venir sous contrôle international.

Comme nous le savons tous, les pays arabes, au lieu de prendre la possibilité de construire un autre État arabe, ont décidé d’attaquer et tenter de détruire Israël en mai 1948. Les Arabes ont perdu, et Israël a commencé à élargir ses frontières historiques, qui ont continué jusqu’en 1967.

Le plan de partage n’était pas réellement une grande surprise suite aux décisions internationales antérieures, notamment l’accord de San Rémo et la Déclaration de Balfour, qui avait désigné la totalité de la Terre d’Israël pour le peuple juif, mais la décision du 29 Novembre, avait en fait dépouillé de grandes parties de notre pays.

En hébreu, le 29 Novembre est plus communément appelé «Kaf-Tet B’November ».