Ce que le Hamas redoutait le plus semble se produire : une fracture interne au sein même de la population de Gaza, qui ose désormais dénoncer ouvertement le joug islamiste. Depuis plusieurs jours, des vidéos et témoignages émergent d’une colère croissante à Gaza – non pas contre Israël, mais contre les dirigeants du Hamas, accusés de détourner l’aide humanitaire, de faire échouer les négociations, et surtout, de maintenir la population dans une pauvreté stratégique au service de leur propagande.
L’envoi de colis humanitaires par voie aérienne, notamment par la Jordanie et les Émirats arabes unis, a déclenché une vague de protestations inattendue. « Les largages sont humiliants », admettent certains Gazaouis, « mais qu’est-ce qui est plus humiliant ? Se battre pour une boîte de conserves ou voir 30 camions humanitaires se faire voler par le Hamas sans que personne ne dise un mot ? »
Le chef du Hamas, Khalil al-Hayya, s’est empressé de qualifier les largages aériens de « théâtre ridicule », affirmant qu’ils n’étaient que propagande occidentale. Mais sur le terrain, ce sont des centaines de Gazaouis qui courent, qui luttent pour saisir une boîte de thon ou un sachet de farine avant que des hommes armés – souvent affiliés au Hamas – ne les interceptent. Une scène digne d’un régime en faillite, et non d’un « gouvernement de résistance ».
Le ministre israélien de la Défense, Yisrael Katz, a été limpide : « Si le Hamas ne libère pas les otages, les portes de l’enfer s’ouvriront sur Gaza. » Une déclaration qui résonne comme un ultimatum. Et à la lumière des révélations du jour, Israël a déjà commencé à priver le Hamas de son arme favorite : la famine organisée. En autorisant des parachutages ciblés, Israël et ses alliés arabes ôtent au Hamas le contrôle du robinet humanitaire – et donc de son levier sur la population.
Pendant ce temps, l’armée israélienne a publié les conclusions d’un rapport sur la défense de Kibboutz Soufa lors du massacre du 7 octobre. Le verdict est sévère : échec opérationnel de Tsahal dans sa mission de défense, malgré un héroïsme indéniable des forces locales et de l’unité d’élite Lotar Eilat. Deux membres de la patrouille civile sont tombés au combat, et un civil a été assassiné dans l’attaque. Un drame évité de justesse grâce à la bravoure de soldats, de civils, et… d’une chienne policière nommée Bonita, tuée par les terroristes.
En parallèle, un autre drame secoue Israël : le réserviste Ariel Meir Taman, qui avait participé à l’identification des corps après les massacres, a été retrouvé sans vie chez lui. Son suicide s’ajoute à une inquiétante série de cas similaires au sein de Tsahal depuis le début de la guerre. L’armée a ouvert une enquête, tandis que les appels à un soutien psychologique renforcé se multiplient.
La scène géopolitique n’est pas en reste. Les Houthis au Yémen, soutenus par l’Iran, menacent désormais d’escalade majeure : ils annoncent le lancement de la quatrième phase du blocus maritime contre Israël, visant cette fois toutes les compagnies opérant dans les ports israéliens. À Bagdad, le général Esmail Qaani, chef de la Force Qods iranienne, a rencontré les milices pro-iraniennes, préparant ce qui semble être une nouvelle phase de guerre hybride régionale.
Du côté diplomatique, des sources égyptiennes révèlent que les États-Unis ont abandonné l’idée de « contenir » le Hamas, au profit d’un nouveau paradigme : écraser militairement l’organisation, puis reconstruire Gaza sous une direction alternative, à la manière de Berlin ou Tokyo après 1945. Dans ce plan, Israël resterait la force dominante sur le terrain, le retour de toute administration palestinienne dépendant de l’élimination complète des entités terroristes.
Les mots du rescapé Yair Horn, ex-otage du Hamas, sont bouleversants : « Je n’ai pas parlé à mon frère Eitan avant qu’on m’arrache à lui. On savait tous les deux que c’était peut-être notre dernière nuit ensemble. » Cette douleur personnelle est celle de 50 familles israéliennes, dont les proches sont toujours otages après 661 jours de silence complice de la communauté internationale.
Et pendant que les États-Unis discutent, que l’Europe hésite, que le Qatar se dérobe, Israël reste seul face à un ennemi qui exploite la souffrance des siens pour justifier sa barbarie. Mais les Gazaouis eux-mêmes commencent à comprendre que l’ennemi de leur dignité n’est pas à la frontière… mais au sommet de la pyramide islamiste.
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Quand Gaza commence à parler contre ses bourreaux, c’est que la fin approche.
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