C’est une vielle femme juive âgée de 70 ans qui se révolte aujourd’hui contre des arabes qui la harcèlent chez elle. «Ils m’attaquent comme des animaux, et veulent me manger toute crue», a dit Yona sur Arutz Sheva, se référant à son voisin d’à côté. Elle parle aussi d’une femme arabe du quartier de Shuafat de Jérusalem. «Elle veut me dévorer. Il suffit de regarder son visage. »
L’histoire de Yona a commencé, il y a plus de 40 ans, quand elle et son mari ont décidé d’acheter une maison dans le quartier à majorité arabe de Shuafat au nord de Jérusalem. Peu de Juifs vivaient alors dans la région. Le couple a tout de même décidé de rester dans leur maison de Shuafat pour les prochaines décennies, alors que le quartier est devenu tristement célèbre pour son hostilité envers Israël. Mais il y a dix mois, son mari est décédé.
Peu de temps après, les Arabes vivant à proximité ont déclaré que la maison du couple leur appartenait. Depuis lors, un groupe d’hommes arabes a fait de la vie de Yona, un cauchemar.
Les hommes ont décidé que la meilleure façon d’obtenir sa maison était simplement de la détruire. Elle a ajouté que plusieurs pièces de celle-ci avaient été endommagées par diverses tentatives d’effractions. Jeudi dernier, les hommes sont revenus à la charge et ont commencé à briser le verrou de sa porte d’entrée, puis, ils ont jetés de grosses pierres dans la cour. La police est venue sur les lieux de l’infraction. Son fils Gavriel Marzel, qui a grandi dans la maison, a déclaré à Arutz Sheva, qu’il espère que ce gang arabe cessera ses attaques.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
«J’ai grandi dans cette maison, avant la guerre des Six Jours», a-t-il dit. «C’était amusant. Mon père a été le premier qui a vécu ici ».
« Lundi dernier, la Cour a tenu une séance sur la propriété des biens, et les Arabes qui n’étaient pas content de la décision du Tribunal ont cassé la porte», dit-il. Le tribunal a statué que Yona doit être autorisée à rester jusqu’à ce qu’une décision finale soit prise quant à la propriété, a-t-il ajouté.
Yona, pour sa part, dit qu’elle va rester dans sa maison malgré les tentatives d’utiliser la violence pour la forcer à partir. «Ils viennent ici, et m’attaquent comme des animaux, mais je n’ai pas peur de dormir seule ici», a-t-elle dit à Arutz Sheva. « Il doit y avoir une présence ici. »
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