SĂ©mantique sĂ©mitique! « Les palestiniens claquent la porte des nĂ©gociations » – Par Crisstov Koisha

 

Source photo : www.juif.org



Une fois de plus comme Ă  leur habitude, nos « chers » voisins nous (re)-jouent la scĂšne de l’offusquĂ©.
Je n’insisterai pas sur leur pathologique mauvaise foi et l’excrĂ©mentielle pourriture de leurs intentions vĂ©ritables.
Non, je ne le ferai pas! Mais je m’intĂ©resserai davantage au cynisme des mĂ©dias français quand ils dĂ©cryptent et relĂšguent ce (non?) Ă©vĂ©nement


« Les palestiniens claquent la porte des nĂ©gociations » (entendu Ă  la TV, Ă  la radio et dans trois des principaux journaux hexagonaux, cette mĂ©taphore porte en elle le « sod » de la façon dont une grande partie de l’occident (les Ă©lites?!) FABRIQUE, falsifie et pollue la pensĂ©e unique.
Ce processus sĂ©mantique fait que pour l’homme du commun, IsraĂ«l apparaĂźt comme Ă©tant le mĂ©chant colonisateur, face Ă  sa vertueuse victime.
En effet,  revenons sur le  » Claque la porte »:

On le sait, les claquements de portes font le bonheur des mises en scÚne de Feydeau et du théùtre de boulevard.
De lĂ , dĂ©coule l’idĂ©e totalement surrĂ©aliste que la situation IsraĂ©lo-palestinienne serait celle d’un couple dont la vie serait tumultueuse. Quel doux euphĂ©misme!
Nous savons tous Ă  quel point cette image est fausse et grotesque.
D’un cĂŽtĂ© la mort, la lĂąchetĂ©, la terreur et de l’autre le choix courageux de la vie de la sagesse et de la justice.

« Le mal ne viendra pas de ceux qui le font, mais de ceux qui laissent faire » disait Einstein.
L’Occident (une grande partie) ne se contente plus de laisser faire, il finance ces barbares avec nos IMPÔTS.
La sociĂ©tĂ© du « Tout est amour » veut garder les mains propres et se concentrer sur ce qu’elle sait faire de mieux: l’onanisme intellectuel

Leur bible -de leur IdolĂątre point de vue- ne peut coexister avec la torah.
Ils se prĂ©tendent ĂȘtre le nouvel IsraĂ«l, et bien sĂ»r ils ne reconnaĂźtront jamais la source.

Quand  Yaccov est nĂ©, il tenait le talon de Esav comme pour signifier que c’était lui le « Behor ». Esav a fort mal tournĂ© : Amalek est sa descendance entre autre chose.
Je nuancerai toutefois mon propos en parlant de Rachi.
Nous savons qu’il a usĂ© maintes et maintes fois de la langue française et notamment pour dissĂ©quer certaines rĂ©flexions complexes et profondes. Il y a lĂ , le signe que la France a un rĂŽle (juif de France?) Ă  jouer dans notre dĂ©livrance.
MĂȘme si aujourd’hui, ce rĂŽle semble des plus voilĂ©s.
Par Crisstov Koisha pour Alyaexpress-News

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