Si vous vous inquiétez de votre lendemain, lisez cela ! ( A la mémoire de Louise Yoheved bat Noira Shoshana ZL)

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Il y a beaucoup d’élĂ©ments du JudaĂŻsme qui peuvent ĂȘtre dĂ©crits comme essentiels Ă  nos croyances, mais la confiance et la foi en D.ieu sont sĂ»rement universellement reconnues comme essentielles Ă  la vie d’un Juif de la Torah. La mitsva de Shemitta, oĂč toutes les terres sont laissĂ©es en jachĂšre tous les sept ans, est essentiellement un test de cette foi et de la confiance en Hachem.

En s’abstenant de toute forme de culture de vos rĂ©coltes, on est inĂ©vita-blement en train d’intĂ©rioriser la leçon que tout vient finalement de D.ieu, et s’il dĂ©crĂšte que ce don qu’il a accordĂ© devrait ĂȘtre laissĂ© intact, alors qu’il en soit ainsi. La Torah verbalise lorsque tout juif dirait quand il s’agit de la sixiĂšme annĂ©e : « Que mangerons-nous en cette septiĂšme annĂ©e ? » Mais cela nous laisse avec une question de savoir pourquoi cette prĂ©occupation ne se poserait pas aussi dans la sixiĂšme annĂ©e ?

Quand une personne s’inquiĂšte-t-elle de l’argent ? Est-ce seulement quand ils n’en ont pas, ou est-ce mĂȘme quand ils en ont beaucoup?

La rĂ©ponse Ă  cette question est enracinĂ©e dans une comprĂ©hension du psychĂ© individuel de chaque personne. Il y en a qui, peu importe combien ils ont maintenant, ils ont toujours peur de ce qu’ils n’auront pas Ă  l’avenir. MalgrĂ© l’état des choses, ayant plus que suffisant, ils sont nĂ©anmoins anxieux de ce qui les attend. Ce sont les gens auxquels la Torah se rĂ©fĂšre. Ce sont les gens qui, mĂȘme dans la sixiĂšme annĂ©e, quand les produits sont abondants et les magasins pleins, se demandent encore « que mangerons-nous la septiĂšme annĂ©e ? » Ceux qui manquent de cette foi profonde que nous sommes tenus d’exposer, montreront qui ils sont vraiment mĂȘme quand il n’y a rien et manquant du tout.

IndĂ©pendamment de nos affirmations selon lesquelles nous savons que tous les moyens de subsistance proviennent uniquement de Hachem, si nous examinons honnĂȘtement nos pensĂ©es et nos actions, nous pouvons nous demander si c’est vraiment le cas.

Ne nous montrons-nous pas parfois de profondes inquiĂ©tudes lorsque l’avenir semble incertain ? N’avons-nous pas ratĂ© des occasions de profit et de dĂ©sespoir face Ă  nos pertes financiĂšres ? Et mĂȘme quand tout va bien, n’éprouvons-nous pas toujours des apprĂ©hensions sur ce qui pourrait nous arriver ?

Tous ces sentiments sont parfaitement comprĂ©hensibles, mais ils sont clairement le rĂ©sultat d’un certain manque de conviction. Si nous croyions vraiment, comme nous le devrions, que tout cela est entiĂšrement dĂ©terminĂ© par Hachem, tout ce qui nous arrivait serait considĂ©rĂ© comme le meilleur et tout ce qui nous attendait pourrait ĂȘtre exactement ce dont nous avons besoin.

* Que le Chabbath nous imprĂšgne de cette foi dont nous avons besoin *

Par Rabbi Michael Glass, le 11 mai 2018.

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Pour l’élĂ©vation de ma MĂšre : l’Âme de Louise Yoheved Bat Noira Shoshana


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