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Il y a beaucoup dâĂ©lĂ©ments du JudaĂŻsme qui peuvent ĂȘtre dĂ©crits comme essentiels Ă nos croyances, mais la confiance et la foi en D.ieu sont sĂ»rement universellement reconnues comme essentielles Ă la vie dâun Juif de la Torah. La mitsva de Shemitta, oĂč toutes les terres sont laissĂ©es en jachĂšre tous les sept ans, est essentiellement un test de cette foi et de la confiance en Hachem.
En sâabstenant de toute forme de culture de vos rĂ©coltes, on est inĂ©vita-blement en train dâintĂ©rioriser la leçon que tout vient finalement de D.ieu, et sâil dĂ©crĂšte que ce don quâil a accordĂ© devrait ĂȘtre laissĂ© intact, alors quâil en soit ainsi. La Torah verbalise lorsque tout juif dirait quand il sâagit de la sixiĂšme annĂ©e : « Que mangerons-nous en cette septiĂšme annĂ©e ? » Mais cela nous laisse avec une question de savoir pourquoi cette prĂ©occupation ne se poserait pas aussi dans la sixiĂšme annĂ©e ?
Quand une personne sâinquiĂšte-t-elle de lâargent ? Est-ce seulement quand ils nâen ont pas, ou est-ce mĂȘme quand ils en ont beaucoup?
La rĂ©ponse Ă cette question est enracinĂ©e dans une comprĂ©hension du psychĂ© individuel de chaque personne. Il y en a qui, peu importe combien ils ont maintenant, ils ont toujours peur de ce quâils nâauront pas Ă lâavenir. MalgrĂ© lâĂ©tat des choses, ayant plus que suffisant, ils sont nĂ©anmoins anxieux de ce qui les attend. Ce sont les gens auxquels la Torah se rĂ©fĂšre. Ce sont les gens qui, mĂȘme dans la sixiĂšme annĂ©e, quand les produits sont abondants et les magasins pleins, se demandent encore « que mangerons-nous la septiĂšme annĂ©e ? » Ceux qui manquent de cette foi profonde que nous sommes tenus dâexposer, montreront qui ils sont vraiment mĂȘme quand il nây a rien et manquant du tout.
IndĂ©pendamment de nos affirmations selon lesquelles nous savons que tous les moyens de subsistance proviennent uniquement de Hachem, si nous examinons honnĂȘtement nos pensĂ©es et nos actions, nous pouvons nous demander si câest vraiment le cas.
Ne nous montrons-nous pas parfois de profondes inquiĂ©tudes lorsque lâavenir semble incertain ? Nâavons-nous pas ratĂ© des occasions de profit et de dĂ©sespoir face Ă nos pertes financiĂšres ? Et mĂȘme quand tout va bien, nâĂ©prouvons-nous pas toujours des apprĂ©hensions sur ce qui pourrait nous arriver ?
Tous ces sentiments sont parfaitement comprĂ©hensibles, mais ils sont clairement le rĂ©sultat dâun certain manque de conviction. Si nous croyions vraiment, comme nous le devrions, que tout cela est entiĂšrement dĂ©terminĂ© par Hachem, tout ce qui nous arrivait serait considĂ©rĂ© comme le meilleur et tout ce qui nous attendait pourrait ĂȘtre exactement ce dont nous avons besoin.
* Que le Chabbath nous imprĂšgne de cette foi dont nous avons besoin *
Par Rabbi Michael Glass, le 11 mai 2018.
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Pour lâĂ©lĂ©vation de ma MĂšre : lâĂme de Louise Yoheved Bat Noira Shoshana
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