L’Égypte a élargi sa guerre contre la contrebande du Hamas et des tunnels terroristes, forçant 10.000 familles à quitter leurs maisons dans une zone jusqu’à un tiers d’un mile de la frontière entre Gaza et l’Égypte.
Le régime Al-Sisi d’Égypte a annoncé l’année dernière qu’il a évacué des familles arabes de la région de la frontière nord de la péninsule du Sinaï pour créer une zone tampon d’environ 300 mètres dans un effort de stopper la construction des tunnels qui a aidé les terroristes à tuer des dizaines de soldats égyptiens.
Cette zone est maintenant étendue à 500 mètres et comprend 10 000 autres familles du côté égyptien de la ville de Rafah et dans les quartiers adjacents.
Stopper le système de tunnel non seulement rend plus difficile le pouvoir des terroristes à attaquer, mais frappe aussi le Hamas, car les tunnels sont une source élevée de revenus pour l’organisation terroriste.
Plus de 1000 familles ont également été déplacées après avoir été forcées de quitter leurs maisons, qui ont été détruites.
Cependant, les terroristes de Gaza persistent encore à élargir un système de tunnel de la terreur sur ses frontières nord et ouest avec Israël, car à cet endroit, Israël ne peut pas élargir sa zone tampon le long de la barrière de sécurité.
Et pourtant aujourd’hui, l’ONU condamne toujours Israël pour un «blocus» qui est presque inexistant sans blâmé l’Égypte et ses zones tampons qui s’allongent de mois en mois et son point de passage à Rafah ouvert exceptionnellement.