La juge Maya Heller qui a décidé le verdict a passé deux heures et quarante minutes pour expliquer pourquoi elle a condamné  le soldat  d’homicide involontaire.

En Février, il pourrait faire face à 20 ans de prison.

Il peut faire appel de la condamnation et la peine, le cas échéant, à la Cour d’appel militaire, mais cela nécessite encore plus d’endurance.

Il y a aussi la possibilité d’un pardon immédiat par le président Reuven Rivlin, mais le ministre de la défense et le procureur militaire en chef doivent à la fois présenter la demande au président, si sa famille dépose une demande au nom du soldat.

Une autre option est la possibilité d’une condamnation à une accusation moindre, ou la réduction de la condamnation à la demande du chef d’état-major de Tsahal, ou à un autre officier de haut rang.