Téhéran au bord du chaos : l’Iran ferme les toilettes publiques pour économiser l’eau pendant que le régime arrose le Hezbollah

La capitale iranienne s’enfonce dans un cauchemar d’incompétence et de sécheresse. Tandis que le régime des mollahs continue de financer le terrorisme au Liban, à Gaza et en Syrie, les habitants de Téhéran n’ont même plus accès à un filet d’eau pour tirer la chasse. Vous avez bien lu.

Dans une décision surréaliste mais bien réelle, les autorités iraniennes ont annoncé la fermeture des toilettes publiques dans la métropole de plus de 9 millions d’habitants. L’objectif ? Réduire la consommation d’eau alors que la capitale s’approche dangereusement du « Jour Zéro », c’est-à-dire du moment où les robinets de la ville s’assécheront définitivement.

Une tragédie nationale provoquée par un cocktail explosif : sécheresse, canicule et… une gestion catastrophique des ressources naturelles.

Le peuple assoiffé, les ayatollahs bien irrigués

Le paradoxe iranien atteint ici son paroxysme : des milliards de dollars continuent d’être versés aux milices armées du Hamas et du Hezbollah, pendant que les personnes âgées, les enfants et les sans-abris de Téhéran se retrouvent sans accès aux toilettes, sans eau au robinet et sans climatisation sous des températures dépassant les 40°C.

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Dans les immeubles de Téhéran, 80 % des foyers souffrent déjà d’une pression d’eau trop faible, et dans de nombreux bâtiments, les étages supérieurs ne reçoivent plus une goutte pendant plusieurs heures chaque jour.

« Jour Zéro » en approche, et toujours pas de plan sérieux

Le président iranien Massoud Pezeshkian, récemment intronisé à la faveur d’une élection manipulée, a lancé un cri d’alarme : sans mesures drastiques, les réservoirs d’eau de la capitale seront vides d’ici la fin de l’été. Un été qui promet déjà d’être brûlant et explosif – au sens propre comme au figuré.

Mais que propose-t-on concrètement ? Des vacances forcées pour alléger la pression. Autrement dit, « allez-vous en de la ville et débrouillez-vous ». C’est la politique de la bouteille à moitié vide, et surtout de la responsabilité totalement absente.

Pendant que les mollahs cherchent l’eau bénite de l’atome, les Iraniens cherchent juste de quoi remplir une bassine.

Une catastrophe annoncée, mais ignorée

Le drame que traverse actuellement Téhéran n’a rien d’un désastre naturel soudain. Cela fait des années que les climatologues alertent sur la surexploitation des nappes phréatiques. Résultat : le sol de la capitale s’affaisse littéralement, de plusieurs centimètres par an, un phénomène connu sous le nom de « subsidence », dû au pompage incontrôlé de l’eau souterraine.

Le régime, lui, a préféré investir dans le nucléaire et les drones suicides plutôt que dans la gestion de ses ressources vitales.

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Et après ? Le chaos hydrique en héritage

Les « solutions » proposées par Téhéran ressemblent plus à des pansements sur une jambe de bois : jours de congés exceptionnels, incitation à quitter la ville et fermeture des infrastructures publiques essentielles.

Pendant ce temps-là, les « élites » du régime se désaltèrent à l’eau minérale importée, les hôpitaux tournent au ralenti faute de pression hydraulique, et les femmes enceintes attendent des heures pour pouvoir aller aux toilettes.


Leçon pour le reste du monde – et pour Israël en particulier :
Quand un régime islamiste choisit la guerre idéologique avant l’eau potable, il conduit inévitablement son peuple à la ruine. Et ce peuple finira, tôt ou tard, par s’en rendre compte.


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