Tous les détails : Le Cabinet a approuvé de nouvelles restrictions sur les commerces et les écoles.
Photo de Yonatan Sindel / Flash90
Le cabinet du coronavirus a approuvé mardi soir de nouvelles mesures restrictives pour contenir la propagation de la variante omicron en Israël. Étant donné qu’une partie importante des nouvelles infections concerne les enfants, les ministres ont accepté la proposition du ministère de la Santé de transférer les écoliers vers l’enseignement à distance dans les villes « rouges » et « oranges » avec un taux de vaccination inférieur à 70 %. Le ministre de la Justice Saar et le ministre de l’Éducation Shasha-Biton ont voté contre.
La liste des villes « rouges » est actuellement courte – il n’y a que deux villages bédouins. Mais en « orange » il y a aussi les grandes villes, notamment Rishon LeZion, Maale Adumim, Sakhnin, Givat Zeev, Elad.
Il a également été décidé de restreindre l’accès aux centres commerciaux à raison de 1 personne pour 15 m². Pour entrer dans les commerces d’une superficie de plus de 100 m², le « tav a-yarok » sera obligatoire. Les établissements de restauration dans les canyons ne seront libérés que sur présentation de « tav a-yarok » et sans places assises.
Pour encourager la vaccination, les ministres ont approuvé l’introduction d’un tav a-yarok de 30 jours pour les premiers vaccinés (avec un vaccin) contre le coronavirus, bien qu’il ne génère pas encore suffisamment d’anticorps. Cette étape contredit la déclaration du ministère de la Santé selon laquelle le « tav a-yarok » ne peut être obtenu qu’une semaine après la deuxième dose du vaccin.
Tous ces changements entreront en vigueur lundi prochain.
Le ministère de la Santé a également recommandé d’introduire des restrictions sur les réunions mais le ministre des Finances Lieberman s’est vivement opposé à une telle mesure, qui a déclaré qu’en conséquence, l’État devrait à nouveau se lancer dans des dépenses de plusieurs millions de dollars pour compenser les pertes dans le domaine de la culture, du divertissement et des salles de réception. En fin de compte, les ministres n’ont pas approuvé les restrictions sur les rassemblements.