Le 7 octobre n’a pas réuni les gens de droite et de gauche, la plupart des habitants en bordure de Gaza qui etaient pour le retrait du Goush katif pour laisser plus de terrirtoires aux palestiniens, dans un espoir de paix, sont devenus la zone tampon avec Gaza ces dernieres années, entrainant par cela, de fortes menaces de sécurité pour les villes plus proche, comme Sderot, Ofakim et Netivot.
Aujourd’hui, les kibboutzim en bordure de Gaza sont vides de gens, car beaucoup ont été tués, d’autres kidnappés et d’autres vivent encore dans des hôtels, tout cela au nom d’une paix qui n’a jamais existé avec un ennemi qui donnerai sa vie pour tuer toujours plus de juifs ou arabes israéliens qui eux, veulent vivre en paix.
Le gouvernement (de droite) qui a décidé de fixer une date commemorative pour les victime du 7 octobre, fait polemique…En effet, ceux de gauche (bordure de Gaza) tentent comme il peuvent de continuer dans leur politique insouciente malgré le 7 octobre qui a prouvé au monde que les palestiniens qui ont voté pour une organisation terroriste ne seront jamais des partenaires de paix.

Sderot et Ofakim fortement touché par le 7 octobre, qui adoptent plus une politique de droite, ont accepté d’organiser une cérémonie commémorative d’État le 7 octobre après le refus de tous les kibboutzim en bordure de Gaza.

La municipalité d’Ofakim a déclaré : « Le 7 octobre, une terrible tragédie a frappé l’État d’Israël et la ville d’Ofakim. Des terroristes armés ont attaqué la ville et ont déclenché un terrible massacre, tuant finalement environ 48 habitants de la ville. Ce matin-là, des dizaines d’habitants d’Ofakim sont sortis pour lutter contre les tueurs avec un courage et un cœur courageux sans précédent. Si Ofakim est choisi pour accueillir la cérémonie d’État, nous serons fiers de l’accueillir.

La municipalité de Sderot a déclaré que « nous participerons à tout événement public dédié à la mémoire des personnes tuées et tombées au combat ».

Les kibboutzim frontaliers détruits, dont les habitants sont toujours en captivité, ont déclaré qu’ils ne serviraient pas de toile de fond aux discours des hommes politiques.

Une cérémonie d’État alternative est attendue, et de nombreuses communautés marqueront le jour du souvenir sans cérémonie, en se rassemblant en cercles.