La même justice israélienne qui accuse le Premier Ministre de corruption continue de faire débat suite à ces deux nouvelles affaires concernant la mort d’un bébé à Ashkelon et la mort d’un terroriste en prison suite à un cancer.

L’inculpation a été portée contre un habitant d’Hébron, Ziad Abed, soupçonné d’avoir causé la mort de l’enfant de sa petite amie à Ashkelon.

Le Palestinien de 21 ans d’Hébron vivait avec la mère de la fille, mais il n’est pas le père de l’enfant, mais un membre de la diaspora bédouine du Néguev. Abed est resté avec l’enfant lorsque sa mère a quitté la maison, après quoi le bébé a été admis à l’hôpital avec une grave blessure à la tête et est décédé au bout de 3 jours.

Au début, Ziad Abed a déclaré que la petite fille de quelques mois était allongée sur le canapé et il est tombée accidentellement sur elle. Aujourd’hui, il dit que le bébé était allongé sur le canapé, qu’il n’a rien vu, il a seulement entendu un coup sur le sol et le bébé est tombé tout seul.

La police ne croyait pas aux deux options et pensait que l’ami de la mère avait frappé la petite fille parce qu’il était en colère car sa petite copine avait quitté la maison pour aller danser.

Un examen à Abu Kabir a conclu que les blessures au crâne de la fillette de 10 mois étaient violentes.

Néanmoins, l’enquête n’a pas permis de trouver suffisamment de preuves de la culpabilité d’Abed, qui continue de prétendre qu’il n’a pas battu le bébé, mais qu’il s’est occupé d’elle comme un père :  » Quand elle est tombée, j’ai essayé de l’aider, mais je comprenait pas la gravité de sa blessure. »

Et le fait qu’il se soit échappé apres le drame et n’ait été arrêté que le lendemain après-midi, alors qu’il tentait de retourner dans les territoires, n’a pas non plus convaincu les tribunaux israéliens.

En conséquence, Ziad Abad a été accusé de négligence, entraînant la mort d’une personne. La peine maximale est de 3 ans de prison.

Un second cas troublant est le cas du terroriste décédé des suites d’un cancer en prison. Un haut juge a présenté ses condoléances à la famille du terroriste qui fait partie du Fatah et qui a brutalement assassiné un Juif et a avoué l’avoir tué.

 »Nous participons au chagrin familial  », pouvait ton lire sur la déclaration.

Une telle déclaration pour un terroriste mort d’un cancer après un traitement long et coûteux aux frais des israéliens est une honte pour la famille Juive qui a été victime des ses actes barbares.

Aucune description de photo disponible.

La citation était écrite dans le procès-verbal suite à la suppression d’une pétition visant à libérer le terroriste de la prison israélienne. La pétition avait été supprimée à la suite du décès du terroriste condamné à trois peines de réclusion à perpétuité.

Quoi penser apres de telles absurdités de représentants de la Justice en Israel ?