Selon un article sur le site Haaretz, l’Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas a empêché l’entrée les patients de Gaza vers Israël.
Aujourd’hui , le ministère de la Santé de Gaza a annoncé la mort de Ibrahim Samir Tubail, âgé de 9 mois, comme conséquence directe de son incapacité à se rendre en Israël pour un traitement. Il avait une sorte de fibrose.
Deux autres bébés, tous deux atteints de problèmes cardiaques, sont également décédés au cours des dernières 24 heures à Gaza après avoir été privés par l’Autorité Palestinienne de la permission d’aller en Israël pour être soignés
Les personnes atteintes de cancer et de maladies cardiaques qui ont été traitées en Israël ne peuvent pas reprendre leurs traitements. Les enfants qui voyagent régulièrement dans des hôpitaux en Israël sont bloqués et leurs parents sont désespérés.
Mais aussi , l’Autorité palestinienne a cessé les expéditions de produits liés à l’anesthésie à Gaza, ce qui signifie que la plupart des opérations ne peuvent être effectuées à Gaza.
Avec ces nouvelles restrictions et le refus de l’AP de payer l’électricité et le carburant pour Gaza, force est de constater un mépris total de Mahmoud Abbas pour la vie et le bien-être de son peuple.
Le seul chef politique de la région qui est respecté pour son propre peuple est le Bashar Assad de la Syrie.
Pourtant, Gisha, l’ONG qui surveille les transferts et les marchandises par les passages de Gaza, a gardé le silence sur la responsabilité de l’Autorité palestinienne dans cette crise de l’électricité, il a également gardé le silence sur l’interdiction du transfert des médicaments et les produits pour l’anesthésie et sur la décision de ne pas permettre aux Gazaouis de se rendre en Israel pour un traitement médical.
Mahmoud Abbas ne peut être accusé d’avoir tué indirectement son propre peuple, car les médias ont investi tant d’efforts et désinformations en affirmant que Abbas est un homme de paix et un modéré!
Cela signifie que les médias ont, depuis ces 15 dernières années, trop investi dans le mythe de l’ Abbas modéré, pour que ces faits soient reconnus et exposés au public.