Le candidat républicain à la Maison Blanche, Donald Trump, a demandé le vote aux électeurs en Israël pour « faire de l’Amérique et d’Israël , des pays en sécurité. »
Avec l’arrière-plan de la Vieille Ville de Jérusalem, le Parti républicain des États-Unis en Israël a appelé une campagne pour demander un vote pour leur candidat, qui a envoyé un message vidéo adressé aux Israéliens-Américains.
L’événement a réuni environ 200 personnes sur le toit d’un restaurant à côté de la Porte de Sion dans la Vieille Ville de Jérusalem.
« Ensemble, nous serons unis contre les ennemis, » at-il dit après avoir montré son admiration pour les traditions juives.
Ont participé à la cérémonie : David Friedman, le conseiller de Trump sur les questions d’Israël, qui a remercié le travail de Marc Zell, le président des républicains en Israël, qui développe une campagne parallèle pour le bulletin de vote de plus de 300.000 Américains lors des votes en Israel pour les élections du 8 Novembre aux Etats-Unis.
Toutes les interventions visaient la résolution controversée adoptée par le Comité du patrimoine mondial de l’Unesco, qui supprime les liens juifs au Mont du Temple, dans la citadelle de Jérusalem.
Friedman s’est dit « désavoué » par une telle décision: « Ils devraient avoir honte », a-t-il dit au lutrin devant le public qui l’a acclamé et a scandé le nom Trump.
« Jérusalem est la capitale d’Israël et des Juifs, peu importe ce que vous dites aux Nations Unies», a déclaré Zell, qui a exprimé son mécontentement concernant le soutien des pays européens qui nuisent à Israël.
Comme lors des précédentes campagnes visant à déplacer l’ambassade américaine de Tel Aviv à Jérusalem , Trump a dit que s’il gagne l’élection contre le démocrate Hillary Clinton , cette ambassade sera déménagée à Jérusalem.
« Trump a dit qu’il va pousser pour créer deux états, mais va aussi soutenir Israël dans tout ce qu’il juge nécessaire pour résoudre le problème », a déclaré Ted Belman, un sympathisant avec la double nationalité, il y a sept ans qui a émigré en Israël.
Chana Givon, également avec la double nationalité, a déclaré que le candidat républicain a mieux compris la situation et serait « un meilleur président pour les États-Unis et Israël. »
