Trump claque la porte de l’UNESCO : Les États-Unis tournent définitivement le dos à un organisme gangréné par l’anti-israélisme et le wokisme pro-palestinien

Donald Trump n’a pas perdu de temps pour rétablir l’honneur américain et israélien sur la scène internationale. Selon le New York Post, la Maison Blanche a confirmé cette semaine que les États-Unis claqueront de nouveau la porte de l’UNESCO, l’organisation de l’ONU pour l’éducation, la science et la culture, dénonçant un corps devenu le porte-étendard des idéologies anti-américaines, anti-israéliennes et des dérives progressistes extrêmes.

Ce retrait cinglant fait suite à un audit de 90 jours ordonné par Trump dès février dernier, qui visait à vérifier si l’UNESCO persistait dans ses dérives : « Nous avons découvert un organisme obsédé par l’idéologie DEI — Diversité, Équité, Inclusion — au détriment de la vérité, de la culture et de la justice », a déclaré une source au sein du Bureau ovale. « Mais surtout, une institution qui continue de flirter avec l’antisémitisme en habillant de culture la propagande pro-palestinienne. »

Ce retrait est loin d’être une première pour l’ancien président américain. En 2017 déjà, il avait suspendu l’adhésion américaine en raison de la reconnaissance par l’UNESCO des sites sacrés juifs comme « patrimoine palestinien » — une insulte crachée au visage de l’histoire millénaire du peuple juif et à Jérusalem, éternelle capitale d’Israël. Cette décision avait alors suivi celle de Ronald Reagan en 1983, qui s’était déjà indigné du manque de transparence et de la politisation éhontée de l’organisation.

Ce que Trump fustige aujourd’hui avec plus de virulence encore, c’est le double jeu de l’UNESCO : « Quand l’UNESCO qualifie Israël de force occupante à Jérusalem ou minimise les crimes du Hamas, elle se rend complice des pires ennemis de l’humanité. » La Maison Blanche ne mâche pas ses mots : « Le président Trump agit pour protéger les valeurs américaines et israéliennes face à des institutions qui légitiment les oppresseurs. »

Parmi les griefs exposés par l’administration Trump figure également la présence massive et toxique de la Chine dans les rouages de l’UNESCO. Depuis que Pékin est devenu le deuxième contributeur financier de l’organisation, ses hauts cadres influencent son agenda culturel. Résultat : des rapports biaisés, un discours aseptisé sur la répression des Ouïghours et un soutien indirect aux ambitions impérialistes chinoises.

L’administration précédente, celle de Joe Biden, avait pourtant réintégré l’UNESCO en 2023 et accepté de régler plus de 600 millions de dollars d’arriérés pour « contrer l’influence grandissante de la Chine ». Une naïveté géopolitique que Trump balaie d’un revers de main : « On n’achète pas notre influence chez les ennemis de la liberté avec des chèques en blanc. On se retire, et on se tient debout. »

Ce n’est pas un hasard si la Maison Blanche cible également les récentes productions intellectuelles de l’organisation : un « guide contre le racisme » publié en 2023 et un projet de 2024 cherchant à redéfinir les normes de genre en Inde. Selon Trump, ces initiatives « ne sont que des chevaux de Troie pour introduire la pensée unique mondialiste dans les systèmes éducatifs nationaux ». L’UNESCO s’intéresse même aux jeux vidéo pour y introduire l’idéologie du genre et la « justice sociale ». Un « progrès » qui, selon la Maison Blanche, est surtout une forme pernicieuse de rééducation politique.

Au-delà des slogans creux de justice sociale, l’UNESCO est accusée par Trump de saper systématiquement les fondements historiques du peuple juif et d’Israël, allant jusqu’à réécrire l’histoire au profit d’une vision purement palestinienne. Les décisions honteuses sur le Mont du Temple, Hébron ou encore Bethléem sont autant de coups de poignard dans le dos du peuple juif, alors que ces lieux incarnent son âme et son identité.

L’ancien président républicain rappelle que cette décision s’inscrit dans la doctrine « America First » : les États-Unis ne resteront plus prisonniers d’organisations internationales qui leur crachent au visage tout en profitant de leur générosité. « Tant que je serai président, l’Amérique — et Israël — ne se soumettront plus aux diktats d’instances pourries jusqu’à l’os par l’antisémitisme et la haine de l’Occident. »

Pour Israël, cette décision est plus qu’un symbole : elle signe la fin d’une hypocrisie qui visait à légitimer la négation de son histoire, de sa culture et de sa légitimité. L’État hébreu peut compter sur un allié inébranlable à la Maison Blanche, un président qui n’a pas peur de dire non aux institutions corrompues.

Pour mieux comprendre le combat d’Israël contre les institutions biaisées comme l’UNESCO :

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