Une information explosive a récemment secoué les cercles diplomatiques et sécuritaires : selon des sources proches de l’ancien président américain Donald Trump, des discussions confidentielles auraient eu lieu entre lui et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou autour d’un développement jugé « dramatique » : l’Iran serait parvenu à produire un déclencheur nucléaire fonctionnel, dernière étape technologique avant la fabrication effective d’une bombe atomique.
Ce scénario, jusqu’ici redouté mais encore hypothétique, place la région — et le monde — au bord d’un nouveau précipice stratégique.
Une révélation alarmante
C’est lors d’une réunion privée à huis clos, organisée dans un cercle diplomatique restreint, que Trump aurait exprimé à Netanyahou sa profonde inquiétude sur les dernières informations transmises par les services de renseignement américains et israéliens.
Selon lui :
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
« L’Iran ne joue plus. Ils sont au bord de franchir la ligne rouge. Et personne ne bouge. »
Ce « déclencheur nucléaire », aussi appelé « détonateur à implosion », est la pièce centrale permettant l’activation rapide d’une charge atomique. Sa mise au point signifie que l’Iran ne manque plus que d’un ordre politique pour assembler une arme prête à l’emploi.
Une course contre la montre
Du point de vue israélien, l’arme nucléaire iranienne n’est pas seulement un risque existentiel, c’est une ligne rouge non négociable. Dès 2012, Netanyahou l’avait clairement indiqué à la tribune de l’ONU, dessinant une bombe à la main.
Or, malgré les accords de Vienne (JCPOA) et leurs multiples versions, l’Iran a poursuivi ses recherches de manière clandestine, soutenu par la Russie, la Corée du Nord et ses propres laboratoires dispersés.
Aujourd’hui, la production de ce déclencheur placerait l’Iran à quelques semaines, voire quelques jours, d’un test ou d’une démonstration de force.
Le silence de l’administration Biden
L’administration Biden, pour sa part, semble minimiser les risques, préférant une diplomatie prudente. Pourtant, de nombreux experts militaires, y compris au Pentagone, admettent en privé que l’Iran a dépassé les seuils critiques.
Trump a dénoncé cette attitude, affirmant que :
« Ce silence est complice. S’il fallait une preuve que Biden est faible sur la sécurité du monde libre, la voici. »
Un Netanyahou déterminé
Le Premier ministre israélien, confronté à une guerre sur plusieurs fronts depuis octobre 2023, n’a pas exclu une frappe préventive. Il aurait même évoqué cette option devant Trump, en insistant sur le fait que l’Iran ne peut pas franchir ce seuil sans réponse.
Tsahal aurait déjà réévalué ses plans opérationnels pour attaquer des installations stratégiques iraniennes, avec ou sans le soutien international.
Une coopération renforcée ?
Malgré son absence de mandat, Trump continue d’agir comme une figure incontournable sur la scène internationale. Les échanges avec Netanyahou montrent que les relations entre les deux hommes restent solides, voire stratégiques.
Selon un conseiller, Trump aurait déclaré :
« Je ne serai peut-être pas président aujourd’hui, mais Israël peut compter sur moi. L’Iran ne doit jamais avoir cette arme. »
Conséquences régionales immédiates
Une arme nucléaire iranienne bouleverserait tous les équilibres :
Les pays du Golfe, en premier lieu l’Arabie saoudite, accéléreraient leur propre programme atomique.
La Turquie pourrait également relancer ses ambitions militaires.
Le Hezbollah et les milices chiites seraient galvanisés par une telle dissuasion.
Israël serait en danger immédiat, même avec le Dôme de fer ou David’s Sling.
Israël face à une décision cruciale
L’État hébreu n’a jamais confirmé ni nié posséder l’arme nucléaire, mais il sait que son avantage stratégique repose sur l’unicité de sa dissuasion.
Si l’Iran entre dans le club atomique, cet équilibre s’effondre, ouvrant la voie à des scénarios catastrophiques pour la sécurité du Moyen-Orient.
Que faire maintenant ?
L’heure est aux choix radicaux :
Attendre une hypothétique action multilatérale qui tarde à venir ?
Frapper seul, comme Israël l’a fait en Irak (1981) et en Syrie (2007) ?
Utiliser la pression diplomatique avec le soutien de Trump et de futurs alliés républicains ?
Chaque option est risquée. Mais l’inaction est peut-être la plus dangereuse.
Conclusion : un moment charnière
Si la révélation de ce « déclencheur nucléaire » iranien se confirme, l’année 2025 pourrait entrer dans l’histoire comme celle d’un basculement nucléaire régional. Et face à cette menace, Israël n’a pas de marge d’erreur.
Pour Trump, pour Netanyahou, et pour ceux qui comprennent la gravité de la situation, il s’agit d’un moment de vérité. L’Iran nucléaire n’est pas seulement une ligne rouge : c’est une fracture dans la stabilité du monde.
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