Infos Israel News – dimanche 22 juin 2025, 09 h 38 (heure israélienne)

Cette nuit, le président américain Donald Trump a déclenché une riposte spectaculaire, marquant une première historique : les États‑Unis sont passés à l’action en frappant directement les trois sites nucléaires iraniens clés, Fordow, Natanz et Ispahan, avec une précision dévastatrice. Tirant parti d’une coordination sans précédent avec Israël, la frappe vise à éradiquer toute capacité iranienne de montée en puissance nucléaire.

🇺🇸 Mise en œuvre présidentielle et message de puissance

Trump a justifié cette escalade en déclarant que les bombardements avaient été « très réussis ». Il a indiqué que :

  • Les bombes GBU‑57 “bunker-busters” — douze au total — ont frappé le site sous montagne de Fordow.
  • Au moins 30 missiles Tomahawk ont été tirés par sous-marins vers Natanz et Ispahan, causant d’énormes dégâts et paralysant les fonctions de conversion d’uranium et les circuits de recherche.

Il a salué les forces américaines et israéliennes, soulignant : « Aucune autre armée au monde n’aurait pu accomplir une telle chose. Maintenant c’est le temps de la paix, ou… » avant de s’arrêter, laissant entendre qu’une nouvelle frappe serait imminente en cas de refus iranien.

🤝 Coopération militaire Washington–Tel Aviv

Un haut responsable israélien précise que les États-Unis ont informé Israël à l’avance, et que la mission a été exécutée en pleine coordination stratégique. Trump et Netanyahu se sont parlés peu avant l’opération, évoquant une collaboration sans précédent dans l’histoire de la lutte contre le régime des ayatollahs.

Cette collaboration démontre la volonté des deux pays de frapper ensemble, sans doute pour maximiser l’effet stratégique de l’opération et dissuader toute réaction iranienne immédiate.

💥 Riposte iranienne : déclaration de guerre ou simple posture ?

La chaîne du CGRI (Gardiens de la révolution) a promptement répondu : « Les États-Unis nous ont déclaré la guerre, la guerre, la guerre a officiellement commencé. » Téhéran assure avoir évacué le matériel et l’uranium, et annonce que « aucune radiation n’est à attendre ».

Cependant, leurs officiels n’ont fourni aucune preuve visuelle ou scientifique concrète. Le ministre Araghchi précise que l’Iran « se réserve toutes les options », tout en mettant en garde contre d’éventuelles représailles.

🔊 Mobilisation régionale : Hezbollah, Houthis et proxies iraniens sur le qui-vive

On s’attend à ce que le Hezbollah libanais ait déjà reçu l’instruction d’ouvrir un second front contre Israël. Bien que les frappes matinales aient visé les défenses aériennes iraniennes, l’Iran pourrait concentrer ses efforts militaires sur les zones à portée de missiles US, comme le Golfe, au lieu d’opter pour une confrontation directe avec Israël.

On surveille également :

  • Les milices pro-iraniennes en Irak, prêtes à cibler les bases américaines dans leur pays.
  • Les Houthis du Yémen, qui ont menacé de reprendre leurs attaques dans la mer Rouge contre les navires américains en cas d’escalade.

🏠 Israël en état de haute alerte

En réponse à cette nouvelle réalité sécuritaire, le Commandement du Front Intérieur a ordonné :

  • À partir de 3 h 45 ce dimanche, passage en « niveau d’activité nécessaire » à l’échelle nationale.
  • Interdiction des écoles, rassemblements publics et réduction des commerces non essentiels.
  • Directives renforcées relatives aux abris et aux alertes civiles diffusées via l’application d’urgence.

Ces mesures visent à préparer la population à tout incident, notamment lié à d’éventuelles frappes iraniennes ou représailles de ses alliés régionaux.

🎙️ Réactions internationales

  • Aux États‑Unis, certains responsables, dont le leader démocrate du Sénat, critiquent l’absence d’autorisation du Congrès.
  • L’ONU exprime ses craintes : António Guterres met en garde contre un risque de guerre incontrôlée et ses conséquences pour les civils.
  • Plusieurs pays européens préfèrent une désescalade diplomatique, craignant une conflagration régionale.

🧭 Scénarios possibles et enjeux à venir

📉 Riposte iranienne ciblée sur les États-Unis

  • L’Iran pourrait privilégier des attaques contre des bases US au Golfe ou contre des navires en mer Rouge, déléguant au Hezbollah les menaces directes contre Israël.
  • Gaza et le Liban pourraient redevenir des zones de tension si le Hezbollah décide « d’ouvrir un second front ».

📈 Élargissement des combats

  • Si un proxy iranien réussit une frappe efficace sur Israël, le système de défense israélien pourrait répondre par des raids aériens ou terrestres en territoire ennemi.

⚠️ Dérive vers un conflit global

  • Toute escalade imprévue — comme un tir accidentel ou une erreur d’appréciation — pourrait déclencher un embrasement régional, impliquant l’Arabie saoudite, les Émirats ou la Turquie.

🏁 Conclusion : un tournant dans l’histoire du conflit

Cette opération conjointe entre Israël et les États-Unis marque une rupture inédite en termes d’engagement militaire contre l’Iran. Elle vise à infliger une paralysie durable au programme nucléaire iranien, et envoie un message de force et d’unité occidentale.

En revanche, elle ouvre la porte à une riposte asymétrique massive des alliés iraniens, qui pourrait s’étendre selon différents fronts. Le Moyen-Orient entre dans une nouvelle phase : celle d’une guerre hybride, avec des frappes ciblées, des représailles indirectes, et le risque latent d’une escalade incontrôlée.

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Note rédactionnelle : cet article s’appuie sur des communiqués officiels, des sources militaires israéliennes et américaines, ainsi que des déclarations iraniennes relayées via les médias internationaux.

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