Par Infos-Israel.News


Dans une déclaration qui ne manquera pas de faire du bruit dans les chancelleries du Moyen-Orient, le président américain Donald Trump a révélé ce dimanche soir, dans un entretien exclusif à la chaîne Fox News, que plusieurs nations arabes et musulmanes avaient manifesté leur volonté d’intégrer les Accords d’Abraham. Une annonce qui tombe à pic, quelques jours seulement après l’annonce d’un cessez-le-feu fragile entre Israël et l’Iran, à l’issue de ce que l’on appelle déjà la « Guerre des 12 jours ».

« Nous avons déjà des pays formidables dans les Accords d’Abraham », a déclaré Trump, visiblement satisfait de l’impact diplomatique de cette initiative lancée sous son précédent mandat. « Et je pense que nous allons bientôt en accueillir d’autres. »


Un nouveau souffle pour les Accords d’Abraham ?

L’initiative des Accords d’Abraham, débutée en 2020 avec les Émirats arabes unis, Bahreïn, le Maroc et le Soudan, semblait au point mort depuis le retour à la Maison-Blanche d’un président aux priorités divergentes. Mais selon Trump, la dynamique reste intacte – et elle pourrait même s’amplifier.

Il a ainsi indiqué qu’il avait envisagé, à l’époque, d’y intégrer l’Iran. Oui, l’Iran. « Je pensais, à un moment, qu’elle rejoindrait les accords avec tous les autres. » Une idée qui semble aujourd’hui surréaliste, à la lumière des tensions extrêmes entre Téhéran et Jérusalem.


Signe d’ouverture : les sanctions levées contre la Syrie

Plus étonnant encore : Trump a affirmé avoir levé des sanctions contre la Syrie, dirigée désormais par Ahmad al-Char’a, dans le but – selon ses mots – d’examiner une possible normalisation avec Israël. « Je ne sais pas ce qu’il en adviendra, mais lever les sanctions, c’était significatif », a-t-il affirmé, soulignant une volonté de créer un climat propice à la diplomatie.

Un signal, peut-être, en direction des puissances sunnites et des nouveaux acteurs du monde arabe qui cherchent une stabilité régionale – sans pour autant céder au narratif victimaire des Palestiniens.


Guerre éclair contre l’Iran : révélations inédites

Concernant l’escalade récente entre Israël et l’Iran, Trump a confirmé qu’il avait personnellement ordonné les frappes américaines, affirmant que Téhéran était à « quelques semaines » de l’obtention d’une arme nucléaire. Il a notamment révélé que l’un des trois sites visés par l’US Air Force se trouvait à 30 étages sous une couche de granite, et que malgré cela, « la mission fut une réussite totale ».

Il n’a pas manqué de souligner la précision chirurgicale des pilotes :

« Ils ont volé pendant 36 heures, ont frappé une cible de la taille d’une demi-porte de réfrigérateur, depuis une altitude de 50 000 pieds. Une mission presque impossible… accomplie. »

Trump a ridiculisé les médias américains qui ont tenté de minimiser l’impact des frappes : « Ils ont prétendu que les cibles n’avaient pas été détruites. Absurde. Nous avons les preuves. »


L’Iran affaiblie, mais encore surveillée

Lorsqu’un journaliste lui a demandé si l’Iran avait eu le temps de dissimuler son uranium enrichi, Trump a catégoriquement nié :

« L’uranium, c’est lourd, c’est dangereux, ça ne se déplace pas si facilement. Et ils n’ont pas été prévenus. »

Il a également affirmé que la République islamique est épuisée après le conflit :

« Ils ne pensent plus à l’atome. Ils pensent juste à survivre dans ce chaos. Le pays a été pulvérisé. »

Et de menacer à nouveau :

« Si j’apprends par nos renseignements qu’ils recommencent à enrichir à un niveau dangereux – nous frapperons à nouveau. Sans hésiter. »


Le mystère des installations secrètes balayé d’un revers de main

Concernant les spéculations sur des sites nucléaires iraniens cachés, Trump a balayé les inquiétudes :

« Des installations secrètes ? Allons. Je ne suis pas inquiet. Nous savons où chercher. »


Trump se pose en arbitre du chaos régional

Dans un de ses posts sur sa propre plateforme sociale, Trump a même révélé qu’il avait empêché l’élimination du Guide suprême iranien, l’ayatollah Khamenei :

« Je savais exactement où il se trouvait. Mais j’ai refusé que les Israéliens ou l’armée américaine l’éliminent. Je l’ai sauvé d’une mort hideuse et humiliante. Il me doit la vie. »

Un ton résolument diplomatique pour un homme souvent caricaturé comme belliqueux. Il conclut ce message par une touche presque philosophique :

« Parfois, on obtient plus avec du miel qu’avec du vinaigre. Paix !!! »


Et maintenant ?

Si les déclarations de Trump se confirment, un nouveau chapitre pourrait s’ouvrir pour les Accords d’Abraham – avec des implications profondes pour la sécurité d’Israël, les équilibres régionaux, et l’avenir d’un Moyen-Orient sans le chaos permanent entretenu par l’axe irano-palestinien.

Car plus les pays arabes s’éloignent du narratif palestinien victimaire et rejoignent le camp de la stabilité aux côtés d’Israël, plus le vieux paradigme s’effondre. Une nouvelle architecture régionale émerge – fondée non plus sur les rancunes de 1948, mais sur les partenariats de 2025.


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