Le journaliste libanais, Ali Shuaib, a remarqué qu’un véhicule de patrouille des FDI à la frontière libanaises avec des poupées au lieu de soldats, apparemment. Selon le Liban, Israël craint la réponse attendue du Hezbollah, et a décidé de placer des marionnettes à l’intérieur de véhicules militaires à la frontière avec le Liban pour tester l’ennemi.
خلصنا المزح بموضوع الجيب ✋
هذه الفضيحة كفيلة بإسقاط رؤوس كبيرة في جيشكم !! لأنها تدل عن "غباء وحمق"
لأنكم لم تتعلموا بعد انكم بمواجة رجال لديهم من الحكمة والحرفية والشجاعة والإيمان مايكفي لهزيمتكم !!#انضبوا
وضبوا تماثيلكم .. هالحركات حتى الأطفال بلعبة الغميضة ما بيعملوها ✋ pic.twitter.com/0FqVHC0hF9Article aimé par nos lecteurs— علي شعيب 🇱🇧 (@ali_shoeib1) August 29, 2019
Les tensions se poursuivent à la frontière nord : le secrétaire général adjoint du Hezbollah, Na’im Qassem, a été interrogé par la chaîne russe RT en arabe sur « l’attaque » à Beyrouth hier et a précisé que l’organisation terroriste n’avait pas l’intention de commenter l’attaque : « Nous avons le droit de réagir. Le coup qu’Israël va recevoir sera surprenant. »
Qassem a réitéré les menaces de Nasrallah et l’organisation : « Nous ne pouvons pas simplement ignorer l’attaque israélienne, nous avons un droit de répliquer. Nous répondrons et le coup qu’Israël recevra sera surprenant. Nous ne fournirons aucune information sur la réponse prévue ».
Il a déclaré que le président libanais proche du Hezbollah, Michelle Aoun, soutenait les intentions de l’organisation terroriste. « Le président pense également que nous ne devons pas rester silencieux face à l’agression israélienne et que nous avons le droit de réagir », a-t-il déclaré.
Le Hezbollah se prépare à réagir fermement à une attaque imputée à Israël de manière à ne pas amener les deux pays à la guerre selon deux sources de l’organisation terroriste à Reuters. L’un d’entre eux a affirmé que la réponse du Hezbollah était « conçue de manière à ne pas conduire à une guerre et que ni Israël ni le Hezbollah ne le veulent. La direction est maintenant de choisir une offensive calculée, mais on ne sait pas comment les choses vont se développer.
Entre temps, le déploiement des véhicules et l’armée de la FINUL se font sentir ces dernières 24 heures :