Ynet a appris que ces derniers jours, les autorités de sécurité ont commencé à travailler activement avec des sociétés extérieures pour résoudre tous les problèmes d’aide humanitaire dans la bande de Gaza sous contrôle israélien.
Des sources affirment que le ministre Galant était contre l’idée , mais le ministre a changé, tout comme le président des États-Unis. La source affirme également qu’ils n’attendront pas l’investiture de Trump et qu’ils envisagent déjà de créer des avant-postes pour « préserver la sécurité du pays à tout prix et eviter un nouveau 7 octobre ».
Le gouvernement s’oppose au contrôle du secteur par l’Autorité palestinienne, ce qui constitue une solution acceptable. En cas de présence militaire, Israël sera obligé de subvenir aux besoins de la population – aide humanitaire, électricité, communications et assainissement.
Mako écrit que le Hamas a tiré les leçons des succès passés de Tsahal et du Shin Bet dans le sauvetage d’otages vivants, et il est probable que des opérations comme celles menées dans le passé soient devenues beaucoup plus difficiles. Il n’existe aucun moyen militaire de rapatrier les personnes enlevées. D’autres experts pensent qu’un accord d’otages est le seul moyen de ramener les gens chez eux, vivants ou morts.
L’armée israélienne tient régulièrement l’Axe de Philadelphie et est présente dans le corridor de Netzarim. Apparemment, la décision a été prise de rester pour une durée illimitée.
La présence militaire sera mis en place, mais ne sera pas déclaré, la situation restera gelée pendant de nombreuses années tant que les otages ne seront pas rendues.
L’opposition pense qu’au sein même d’Israël, « la polarisation et la division politiques s’intensifieront et la position internationale d’Israël sera encore davantage affaiblie, mais aussi que l’armée sera épuisée par les opérations militaires incessantes. La stabilité et la vie des otages sont sacrifiées pour préserver la coalition. »
L’avenir nous le dira.
