Tsahal révèle : des journalistes tués à Khan Younès avaient participé à la propagande du 7 octobre

Une nouvelle polémique internationale secoue Israël : le tir de Tsahal sur l’hôpital Nasser de Khan Younès, qui aurait causé la mort d’une vingtaine de personnes, dont plusieurs journalistes, est au cœur d’un débat mondial. Mais ce matin, l’armée israélienne publie des éléments d’enquête qui changent radicalement la perspective : parmi les journalistes tués figuraient des individus ayant accompagné les terroristes du Hamas le 7 octobre et documenté leur massacre pour l’appareil de propagande de l’organisation islamiste.

Le contexte : une caméra piégée dans un hôpital

Lundi, une équipe de la brigade blindée 188 a ouvert le feu sur la cage d’escalier de l’hôpital Nasser, après avoir identifié une caméra de surveillance installée en hauteur, destinée selon Tsahal à collecter du renseignement sur les mouvements de ses soldats. Depuis plusieurs jours, les militaires tentaient sans succès de neutraliser l’appareil, y compris via un drone. Finalement, l’ordre a été donné de tirer un obus de char, décision validée par la chaîne de commandement.

Résultat : une vingtaine de morts, dont certains présentés par Gaza comme médecins et journalistes.

Le voile se lève : des « journalistes » complices du Hamas

Le rapport interne de Tsahal, qui sera rendu public aujourd’hui par le général Yaniv Asor (commandant du front sud) et le général Moran Amar (division 36), révèle un fait explosif : parmi les journalistes tués se trouvaient des individus ayant franchi la frontière le 7 octobre 2023 aux côtés des commandos du Hamas, caméra à la main, pour filmer les massacres dans les kibboutzim et sur la base de Reïm.

Autrement dit, ces personnes ne relevaient pas du journalisme, mais de la complicité active avec un mouvement terroriste. « Certains d’entre eux étaient des terroristes déguisés en journalistes », confirme une source militaire.

Le dilemme éthique et opérationnel

L’armée israélienne reconnaît que chaque tir près d’un hôpital soulève une question d’éthique et de droit international. Mais elle insiste : le Hamas transforme délibérément les infrastructures civiles en boucliers humains. Des positions de tir, des centres de commandement et des caméras d’espionnage y sont installés. « Le Hamas a fait de l’hôpital Nasser une base militaire. Dans ces conditions, il est impossible de ne pas agir », affirme un officier.

Le porte-parole de Tsahal, le général Efi Daphir, a rappelé hier :

« Tsahal n’a aucune intention de viser des civils. Nous faisons tout pour réduire les dommages collatéraux, mais la priorité absolue est la protection de nos soldats. Chaque incident est minutieusement étudié. »

La propagande du Hamas mise en lumière

Ce nouvel élément éclaire aussi un pan central de la guerre : le contrôle de l’image. Depuis le 7 octobre, les vidéos tournées par des cameramen affiliés au Hamas sont devenues des armes psychologiques diffusées en boucle sur les chaînes internationales et les réseaux sociaux. Leur objectif est double : glorifier les attaques du Hamas et délégitimer la riposte israélienne.

En révélant que certains de ces cameramen figuraient parmi les « victimes » de Khan Younès, Tsahal expose l’ampleur de l’infiltration médiatique du Hamas.

Israël face au tribunal de l’opinion mondiale

Une fois encore, Israël se retrouve accusé sur la scène internationale, sans que ne soit pris en compte le fait que le Hamas utilise systématiquement écoles, hôpitaux et mosquées comme bases terroristes. La leçon est claire : tant que 50 otages israéliens restent détenus à Gaza, et que le Hamas persiste dans sa stratégie cynique d’utiliser des civils comme boucliers, chaque opération militaire sera transformée en procès médiatique contre Israël.

Ironie noire et colère des familles

À Tel-Aviv, certains commentateurs n’ont pas manqué d’ironiser : « Peut-être qu’à la prochaine conférence de presse de l’ONU, on découvrira que les caméramans du Hamas étaient en réalité des lauréats du prix Pulitzer ». Derrière l’humour grinçant, une réalité douloureuse : la guerre de l’image coûte à Israël un prix diplomatique considérable, alors même qu’il se bat pour sa survie.

Conclusion : la guerre des caméras

Cette affaire rappelle que le 7 octobre n’était pas seulement un massacre à l’arme automatique, mais aussi un massacre filmé et scénarisé pour servir la machine de propagande islamiste. En neutralisant cette caméra à Khan Younès, Tsahal n’a pas seulement détruit un outil d’espionnage : il a révélé au monde l’existence d’un réseau de pseudo-journalistes transformés en complices de crimes contre l’humanité.

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