Au cours de l’année écoulée, la ville de Safed est devenue l’une des principales villes dans le cercle de tir du Hezbollah. Dans presque toutes les alarmes qui retentissent dans la ville, de nombreux habitants, dont certains n’ont pas d’abri chez eux, sont obligés de courir vers les abris publics, mais ceux-ci ne sont pas toujours ouverts ou disponibles à une distance raisonnable.
News 12 a découvert qu’au moment des alarmes, il y avait une véritable bataille pour l’espace dans les abris publics. « Mon fils a été agressé samedi soir par des Haredim qui ne lui ont pas permis d’entrer dans le refuge pendant une alarme. Il a été hospitalisé et à ce jour personne n’a été arrêté », raconte Nathalie Glazer, 46 ans, mère de cinq enfants de Mitzvah, qui, même maintenant, ne sait pas où aller à la prochaine alarme.
עירית צפת מפקירה את הקשישים. אבא שלי בן 89 גר בעיר העתיקה בצפת, איזור ללא מיגון בבתים עם זמן התרעה של 30 שניות. ליד ביתו מקלט ציבורי השייך לעיריה. אממה, העיריה העבירה את השימוש במקלט לעמותה חרדית כלשהי שנעלה המקלט כדי לשמור על הציוד שהכניסה. כרגע שוב היתה אזעקה והמקלט שוב נעול. pic.twitter.com/F3QtBUmN8J
— Sivan Lev-Eyal (@Sivan_leveyal) September 7, 2024
La municipalité de Safed a répondu : « Les règlements du commandement du front intérieur soutiennent le double usage des abris, ce qui contribue à leur préservation et à la prévention du vandalisme. Le maire a supposé que chaque abri public serait accessible au grand public. Nous sommes désolés que des partis irresponsables tentent de semer la haine et la division qui n’existent pas, surtout en période d’urgence où nous sommes tous censés nous unir ».
La police israélienne a déclaré : « La police s’efforce de localiser les suspects. Jusqu’à présent, un certain nombre de suspects ont été interrogés et des preuves ont été recueillies, et l’enquête se poursuit dans le but de découvrir la vérité. La police travaille 24 heures sur 24. pour la sécurité des résidents et prendre au sérieux tout cas où l’accès à une zone protégée a été refusé.