Son nom n’est pas révélé, ni ses intentions, mais il a erré en toute sécurité sur un kilomètre à l’intérieur de Gaza, puis est revenu, malgré le fait que les forces de sécurité aient été envoyées dans son sillage.
Sur le chemin du retour, il a été arrêté par l’armée et remis au Shin Bet pour interrogatoire.
Walla suggère qu’il s’agissait d’un « touriste ».
Les responsables de la sécurité ont vivement critiqué l’unité frontalière, affirmant que cet incident grave montrait une confusion et des lacunes dans la surveillance et le contrôle des postes frontières. Des sources ont également indiqué qu’il existe un « tourisme militaire » autour de la clôture, dont une partie est réalisée sous les auspices de l’armée, et une autre partie est réalisée de manière indépendante. Les civils viennent voir les soldats, la bande de Gaza et les champs de bataille.
L’armée israélienne avait précédemment déclaré qu’après l’attaque du 7 octobre, la barrière frontalière avait été restaurée et renforcée, mais que rien n’avait empêché le « touriste » d’hier. L’armée affirme que « l’incident fait l’objet d’une enquête ».