Les images, qui ont été classifiées, montrent un objet volant non identifié (OVNI) suivi par un drone MQ-9 Reaper dans un lieu non divulgué. L’ OVNI , d’apparence métallique, vole à grande vitesse tandis que le drone essaie de le suivre.
Cette observation est particulière car c’est la première fois qu’un drone capture un OVNI. À d’autres occasions, les images déclassifiées provenaient d’avions pilotés.
Le bureau de résolution des anomalies dans tous les domaines du Pentagone (AARO), dirigé par Kirkpatrick, surveille environ 650 incidents OVNI, une augmentation considérable par rapport aux 350 signalés au début de l’année. Cependant, rien ne prouve qu’ils soient d’origine extraterrestre.
La principale préoccupation de nombreux pays au sujet des ovnis est géopolitique : la possibilité qu’il s’agisse d’avions d’autres nations surveillant les intérêts et les activités d’autres pays. Cela impliquerait également que des rivaux tels que la Russie et la Chine ont développé des technologies inconnues des États-Unis.
Les ovnis et les phénomènes aériens non identifiés (FANI) ont été étudiés principalement par les agences militaires et de sécurité nationale, plutôt que par des scientifiques. Certains OVNIS abattus par les forces américaines se sont révélés être des ballons espions chinois.
L’OVNI métallique en forme d’orbe a été aperçu à d’autres occasions au Moyen-Orient. Cependant, Kirkpatrick soutient qu’en raison du manque de données, il est pratiquement impossible d’identifier son origine en se basant uniquement sur la vidéo.
Dernières recherches et théories
Kirkpatrick et l’astronome Avi Loeb, professeur à l’Université de Harvard et partisan de la recherche SETI, ont théorisé l’existence possible d’un vaisseau-mère extraterrestre envoyant des sondes OVNI sur Terre. Malgré cela, Kirkpatrick précise qu’il n’y a aucune preuve d’activité extraterrestre et que seul un petit pourcentage d’observations d’OVNI peut être considéré comme anormal.