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Après les propos scandaleux d’Oshrat Kotler contre l’armée et la construction en Judée Samarie, les comparant à des « animaux humains » , il y a ceux qui n’acceptent pas de se taire.

« Bonjour Oshrat Kotler, enchanté de faire ta connaissance, je suis Ido Zeevi, fier d’être un soldat Kfir », écrivait-il sur sa page Facebook, dans un message qui a remporté des milliers de likes. « Par temps froid et chaud, je suis présent pour te permettre de diffuser tranquillement depuis ton studio climatisé et salir les soldats de Tsahal. »

« Pour te dire la vérité », a-t-il poursuivi, « je suis loin d’être un être « animal humain » , en fait, j’aime l’homme et la terre de tout mon cœur et je continue-rai à défendre fièrement mon pays pour le peuple d’Israël et aussi pour des gens ingrats, comme toi. » Il a terminé ses mots par une « semaine de désillusion et d’amour libre – tu en as nécessairement besoin ».

Les parents des combattants détenus ont également réagi rapidement : « C’est une déclaration misérable qui n’a pas sa place dans le discours israélien, et certainement pas par une présentatrice de journaux censée présenter des faits et non pas sa vision déformée du monde », ont-ils répondu hier.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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« Nos fils se sont enrôlés dans l’armée israélienne par sens de la mission et du sionisme, ont choisi un chemin ardu, voulaient être des soldats dans l’armée israélienne, ne voulaient pas de réduction de temps mais effectuer une mission complexe dans l’un des secteurs les plus complexes de l’État d’Israël. Deux de leurs camarades ont levé la tête, ont marché, et ont été exécutés lors d’une mission qui leur avait été confiée. « 

Ils ont continué à dire que « Kotler n’a pas demandé qui étaient ces soldats, ce qu’ils ont fait pour s’enrôler, quelle terrible difficulté ils ont rencontrée et ont choisi de les décrire avec des mots terribles. » Ces garçons suivaient des cours préparatoires pré-militaires et excellaient dans leur service.

« L’incident pour lequel ils ont été arrêtés commence à peine à se produire et ils commencent à se demander pourquoi on aurait dû leur confier une tâche aussi délicate et inutile, pourquoi ils n’ont pas reçu un soutien psychologique adéquat après le traumatisme subi et pourquoi ils n’étaient pas correctement préparés pour transporter des terroristes impliqués dans le meurtre de leurs camarades. »

« Kotler, qui dort bien et qui est en sécurité grâce à nos fils, a choisi de les condamner sans procès et s’est fondé, entre autres, sur une fausse déclaration qui tente de mettre en place une poursuite militaire connue de l’incident. »

«Ils ont transformé nos fils en boucs émissaires, émettant des déclarations dures et brutales à chaque occasion, créant un faux sentiment qu’ils sont des criminels violents débridés, essayant de brûler la conscience du public qu’ils ne sont pas des combattants héroïques, mais les derniers, ce n’est donc pas étonnant qu’ils soient devenus des « animaux humains ». Nous n’abandonnerons pas et nous ne nous reposerons pas, nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour protéger nos fils, ils le mérite, tout comme ils ont protégé la sécurité des citoyens de l’État d’Israël. « 

Pour rappel, Kotler a provoqué l’indignation, après avoir comparé les soldats à des « animaux humains » et condamné la « colonisation », après qu’un terroriste ait tiré sur les soldats au carrefour de Givat Assaf et tue deux soldats de l’unité Netsar Yehouda. Lors des arrestations des complices du terroristes, les soldats comparés à des animaux leur ont donné des coups lors de l’arrestation, ce qui est interdit et aujourd’hui ils sont jugés pour ce fait.

Après cela, Kotler a ajouté : « Mes enfants et leurs amis servent dans des unités de combat dans les territoires depuis des années », a-t-elle déclaré. « Mes critiques s’adressaient unique-ment aux soldats dont le contrôle des Palestiniens dans les territoires les avait amenés à blesser des innocents, n’est-ce pas ? » Kotler a ajouté : « Je continuerai à exprimer mon opinion sur ce plan, vous ne réussirez pas à me faire taire. »