Il se nomme Danny Adino-Adebe, sa couleur va lui servir à s’infiltrer dans un milieu complétement différent de ses origines, afin de comprendre pourquoi il y a de plus en plus de soudanais et érythréens qui s’installent du nord au sud du pays sans oublier le centre de Tel Aviv.
Il n’a pas été facile pour Danny de se faire passer pour l’un d’entre eux car son accent, et sa langue n’est pas le tigré mais l’amharique. Il va se faire passer pour un enfant Amatcha qui est une ancienne communauté érytréenne qui venait d’Éthiopie.
Son témoignage est saisissant et surprenant, voici les differents points qui montrent que ce flux d’immigration est loin d’être la cause que Chalom Archav et tous les autres associations « humanitaires » qui mettent en avant la cause humanitaire et font croire qu’Israël ne fait pas son travail en accueillant comme il se doit ces hommes qui sont loin de quitter leur pays pour des raisons de sécurité.
La complicité des ONG avec les immigrés africains :
Danny doit prouver qu’il est entre dans le pays, et pour cela il va faire appel à Jérémie,qui est son guide :
« Tu dois mentir aux ONG qui s’occupent de nous. Ces organisations aiment qu’on leur mente. Tu dois donc leur faire croire que tu viens d’Érythrée, que ta vie là-bas est en danger et que tu ne peux pas y retourner.
Le voyage vers Israel se fait dans des conditions très faciles :
Jérémie, son guide lui raconte le « périple » des infiltrés :
« Aucun d’entre nous n’a marché pendant des semaines ou même des journées pour arriver ici ». Jérémie m’explique : « L’opération s’appelle opération Toyota. En échange de 70 dollars, une jeep Toyota achemine les infiltrés vers la grande ville de Tetsena. Là ils payent 700 dollars pour être transportés vers Khartoum la capitale soudanaise. Ils y rencontrent des guides soudanais. Ils leur payent encore 700 dollars pour aller jusqu’au Caire. Au centre du Caire, des Bédouins du Sinaï sont là et ce sont eux qui abordent les Africains. Moyennant encore 750 dollars, ils les conduisent à 20 km de la frontière israélo-égyptienne. Finalement ces derniers 20 km se font à pied. En passant la frontière, le plus important, explique le guide, est de lever les bras. Les soldats israéliens arrivent ensuite. Et le tour est joué ».
Une integration impossible de par des conflits internes
Danny raconte :
« Je commence à dialoguer avec des Érythréens. Et je comprends qu’il y a une haine farouche entre les Érythréens qui sont socialement au plus bas niveau et les Soudanais qui sont à un niveau légèrement supérieur (en particulier parce qu’ils parlent arabe). Je serai témoin de bagarres très violentes entre des infiltrés des deux pays…
Une monopolisation des endroits publics :
Danny raconte :
Jour et nuit, les jardins et aires de jeux du quartier Levinsky sont pris d’assaut par les infiltrés qui y vivent et y dorment. L’odeur y est souvent insoutenable. Ce sont des endroits prisés par les trafiquants de stupéfiants. Les enfants israéliens du quartier Lewinsky, eux, n’ont plus d’aire de jeux.
Le vol est leur objectif
Danny ajoute :
« … Les Africains n’ont pas d’argent. Pour manger et boire, ils volent. Là aussi, il y a une hiérarchie sociale : les Soudanais volent des vélos tandis que les Érythréens volent des téléphones portables. Ils vont ensuite vendre leur butin au « marché des voleurs » pour des sommes dérisoires et pour disposer de quelques shekels qu’ils iront dépenser dans l’un des bars illégaux qui ont jailli ces derniers mois dans les sous-sols des immeubles du quartier. Souvent au petit matin les réfugiés en sortiront ivres »
L’intervention de la police est absente
L’espion éthiopien remarque que pendant les agressions dans les groupes, la police n’intervient pas :
« … Il y a un commissariat de police près de Levinsky, mais en une semaine, je n’ai pas vu un seul policier patrouiller dans ce quartier… »
Le véritable objectif qui attire de plus en plus d’africains en Israel :
Danny Adino Abede a été interroge sur Hamodia et il dit que les Africains ne sont pas des réfugiés, ils recherchent un paradis israélien.
En un mot : l’argent.Ces Africains ne sont aucunement des réfugiés. Ils n’étaient pas persécutés dans leur pays et ils pourraient y rentrer sans problème. Mais ils considèrent Israël comme un paradis et espèrent y trouver un emploi avec un salaire nettement supérieur aux30 ou 40 dollars de salaire mensuel moyen dans leur pays.
La conclusion de l’espion israélien :
Ma première conclusion est que le gouvernement israélien a échoué dans le traitement de ce dossier social. Et je crains que cela ne nous explose sous peu à la figure, car ce qui est impressionnant, lorsque l’on est dans les quartiers sud, c’est la masse d’infiltrés africains. Ils sont tellement nombreux que cela ne profite à personne. Ni à eux, ni à nous, ni à l’État d’Israël. Et notre erreur majeure, c’est notre passivité.
Le gouvernement doit cesser ces bavardages et renvoyer ces infiltrés vers leur pays. Il faut comprendre que si comme l’ont proposé certains, on leur trouve du travail cela se fera sur le compte d’autres populations en détresse sociale en Israël comme la communauté éthiopienne dont je suis issu. Ce sera mieux pour nous, mais aussi pour eux.
Inspiré de la source suivante : hamodia.fr
How could an Israeli government with a worldwide reputation of excellent security record could be so passive and irresponsible in this dangerous threat to Israel existance and the future of the entire Jewish people is mind boggling
le rivalite entre les ministres au gouvernement
l’interet de certains entreprises avide de main d’oevre a des salaires scandaleusement bas.
l’astuce d’un monde ombreux qui fait du benef tres rentable dans ce trafic malhonnete
Le plus terrible, dans cette affaire, c’est qu’on assiste à une nouvelle forme d’agression contre Israël qui est soumis à un terrorisme paralysant de l’image. Israël est la victime d’un chantage fondé sur le racisme négatif. Les détracteurs d’Israël profitent cyniquement de la couleur des envahisseurs pour crier au racisme et faire peur à un gouvernement qui a déjà peur de son ombre. Si les clandestins étaient blancs, on n’assisterait en rien à ces accusations infondées et bruyantes.
Le sens inique et tordu de la justice des prétendus défenseurs des droits de l’homme à sens unique leur laisse croire qu’ils ont le droit de dicter à Israël sa conduite et d’obliger sa population à admettre tous les crimes commis contre ses citoyens pour quelle raison? Parce que les agresseurs sont de couleur.