L’opération militaire israélienne qui a frappé Téhéran en pleine nuit a surpris le régime iranien dans ses retranchements les plus stratégiques. Selon plusieurs médias israéliens, dont Ynet, Maariv et Haaretz, l’armée israélienne a mené une offensive d’une précision redoutable, neutralisant des cellules de lancement de missiles quelques secondes avant l’attaque prévue contre Israël. Cette initiative a été saluée par les experts comme un coup d’éclat technologique et stratégique, révélateur de la supériorité militaire israélienne dans la région.

Une guerre de souffle : Israël prépare sa défense dans la durée

Le conflit entre Israël et l’Iran est désormais ouvertement assumé par les deux parties, mais l’approche israélienne diffère radicalement de celle de Téhéran. Si l’Iran frappe des civils, Israël vise les infrastructures militaires, nucléaires et balistiques. Le journaliste vétéran Ron Ben Yishai explique dans Ynet que « la surprise infligée à l’Iran est le fruit d’une préparation méticuleuse, d’une anticipation des mouvements ennemis et d’une capacité de frappe à longue portée jamais vue dans l’histoire récente du Moyen-Orient. »

Tsahal a déclenché ses frappes dans un timing parfait : au moment précis où les forces iraniennes préparaient un tir massif de missiles balistiques depuis les environs de Kermanshah et des bases proches de Téhéran.

Les pilotes israéliens, aidés de renseignements fournis par des satellites et d’autres sources humaines (Humint), ont localisé les rampes de lancement et les centres de contrôle quelques minutes avant l’ordre d’activation, et les ont anéantis.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Une réponse décisive à l’agression iranienne

Israël n’a pas lancé cette opération à la légère. C’est en réponse directe aux frappes iraniennes meurtrières de la veille, qui ont touché Peta’h Tikva, Haïfa et Bnei Brak, provoquant la mort d’au moins huit civils israéliens. Tsahal a annoncé que plus de 170 cibles avaient été attaquées en Iran, ciblant entre autres des unités des Gardiens de la Révolution, des dépôts de munitions, et des centres de communication stratégique.

Ce matin, un porte-parole de l’armée a déclaré que « l’objectif principal de l’opération est de réduire les capacités offensives de l’Iran à long terme », en empêchant notamment tout nouveau lancement de missiles. La neutralisation des équipes de lancement avant l’attaque est une victoire tactique, mais surtout une preuve de la rapidité et de la précision de l’armée israélienne.

Tensions sur le front intérieur : Israël frappé mais uni

Malgré le succès militaire, l’arrière israélien reste sous pression. Haaretz a rapporté que l’impact psychologique sur les civils est considérable, en raison de l’ampleur des destructions et du nombre de victimes. Des milliers de familles dorment dans des abris. Les écoles, les lieux publics et les services essentiels fonctionnent au ralenti.

Mais loin de semer la panique, cette situation renforce la solidarité nationale. Les hôpitaux sont organisés, les centres de dons fonctionnent sans relâche, et les citoyens, même dans les zones touchées, suivent scrupuleusement les consignes du Commandement du Front intérieur. La discipline collective devient un bouclier invisible, tout aussi vital que le Dôme de fer.

L’Iran en état de choc : confusion et perte de contrôle

Côté iranien, les images en provenance de Téhéran témoignent d’une situation chaotique. Les frappes israéliennes ont ciblé des bases en périphérie mais aussi des centres névralgiques à l’intérieur de la capitale iranienne, provoquant des incendies visibles à des kilomètres. La population fuit vers les stations de métro, utilisées comme abris, dans une ambiance rappelant les bombardements de la guerre Iran-Irak.

La télévision d’État diffuse des messages contradictoires, oscillant entre appels au calme et menaces de représailles. Le régime tente de minimiser les pertes, mais les témoignages sur les réseaux sociaux iraniens parlent de dizaines de morts parmi les militaires, dont plusieurs hauts gradés.

Une guerre qui redéfinit la stratégie régionale

Les experts militaires estiment que cette opération israélienne marque un tournant historique : c’est la première fois qu’Israël mène une telle attaque directe, assumée, et en profondeur sur le territoire iranien. Ce n’est plus un conflit indirect, mené par procuration via le Hezbollah ou les milices chiites. C’est désormais une confrontation directe entre deux puissances régionales, avec des conséquences géopolitiques majeures.

L’armée israélienne montre qu’elle peut frapper, à tout moment, n’importe quelle cible en Iran. Mais cette démonstration de force est aussi un message clair à la communauté internationale : Israël ne tolérera pas la menace nucléaire iranienne, et agira si nécessaire pour garantir sa sécurité.

Le soutien populaire et international

Malgré les critiques récurrentes de certains pays européens, Israël bénéficie d’un large soutien populaire parmi ses alliés traditionnels, notamment aux États-Unis, au Canada, et en Europe de l’Est. Des dirigeants comme le président argentin, récemment arrivé en Israël, ont exprimé leur solidarité totale.

En Israël, l’opinion publique est unanime : il faut frapper pour vivre, se défendre pour survivre, et protéger les familles avant tout. Des sondages réalisés ce matin montrent que plus de 82 % des Israéliens soutiennent l’opération « Am Kolavi » et font confiance à Tsahal pour faire le nécessaire.