L’ONG de gauche B’tselem affirme que la police israélienne a violé les droits des patients et des médecins dans l’hôpital Al-Makassad de Jérusalem, lorsque la police est entrée dans le bâtiment à la recherche d’un violent agitateur musulman, Mohammed Abu Ghannam, qui a par la suite été abattu plus tard dans l’hôpital. L’incident s’est produit le 21 juillet 2017.
Un médecin arabe de l’hôpital a déclaré à Haaretz que la police était vicieuse et qu’ils avaient perdu le contrôle [d’eux-mêmes]…
« Ils étaient vicieux », dit Husseini de ceux qui ont perpétré le raid de vendredi dernier. « Je pense qu’ils ont perdu le contrôle et cela aurait pu conduire à un massacre. Nous n’avons jamais eu de raid de la police frontalière. Il y avait toujours la police en bleu ou en noir. La police des frontières n’a aucun respect pour la population civile. Qu’est-ce qu’ils cherchaient? Des armes? Des terroristes armés? La police aurait pu venir à moi et me demander qui ils cherchaient d’une manière civilisée, mais ils ont préférés entrer dans les salles d’opération avec leurs bottes contaminées. Quelque chose comme ça n’arriverait jamais à l’hopital Hadassah. »
Mais les images vidéo que nous venons d’obtenir par Channel 10 montrent une histoire complètement différente.
Dans le parking de l’hôpital se trouvaient des blocs et des pierres utilisées par les violents émeutiers musulmans pour attaquer la police, et des images ont été capturées montrant au moins un Arabe sur le toit de l’hôpital jetant des blocs de béton sur la police.
La chaîne 10 dit que les blocs ont été placés sur le terrain de l’hôpital à l’avance pour être utilisés contre la police israélienne.
La police dit qu’ils sont entrés à l’hôpital, principalement parce que les émeutiers violents utilisaient à dessein l’hôpital comme sanctuaire.
Les musulmans ont organisé des émeutes après qu’Israël ait placé des détecteurs de métaux à l’entrée du Mont du Temple, et ce après que trois terroristes musulmans eurent assassiné deux policiers israéliens sur le site sacré.