Le site palestinien Ma’an rapporte » qu’une résidente d’Hébron, Suzan Jabir, qui fait du bénévolat avec le groupe des droits de l’homme israélien et gauchiste B‘Tselem, a déclaré à Ma’an que les points de contrôle militaires autour de la mosquée Ibrahimi (Caveau des Patriarches), le vieux marché et le quartier Jabir sont devenus des endroits ou les Palestiniennes sont traitées de façon dégradantes, bien plus qu’ auparavant (avant la vague d’attentats qui dure depuis 3 mois et a fait de nombreuses victimes juives tuées par des terroristes d’Hévron). «
Ajoutant : « Les forces d’occupation israéliennes inspectent chaque enfant, femme et jeune homme vingt-quatre heures par jour, sept jours par semaine » a dit Suzan.
Puis elle ajouté : « J’ai été inspectée à plusieurs reprises par des soldats israéliens, et quand j’ai demandé qu’ils apportent une femme soldate pour inspecter les femmes, ils ont refusé et ont menacé de me tuer si je ne satisfaisait pas à leurs ordres », a déclaré Suzan sur Ma’an.
Il y a une pancarte arabe devant chaque checkpoint où l’on peut lire « Stop pour inspection ». Continuant dans les mensonges, elle dit que les » forces arrêtent les gens pendant des heures et les forcent à faire face à un mur sans bouger …. les humilient, pour les tuer et détenir des hommes, femmes, enfants et personnes âgées. Le seul prétexte est l’obsession de la sécurité et la peur présumé des attaques lancinantes ».
Le site Ma’an a fourni obligeamment une vidéo de trois femmes soumises à ces « inspections humiliantes » de soldats de sexe masculin de Tsahal.
Mais la vidéo contredit chacune des accusations et les insinuations de Jabir.
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- Chaque inspection prend moins d’une minute.
- Les femmes sont inspectées et ne semblent pas traumatisées, voire très incommodées.
- Il n’y a pas besoin d’une soldate femme, parce qu’il n’y a pas de contact physique entre le soldat et la femme (système électronique à distance)
Pour rappel, la majorité des attaques au couteau se sont produites sur ce même lieu et certaines ont échoué à Hébron, ce qui dément cette affirmation selon laquelle la crainte de la terreur est simplement un «prétexte» pour un «traitement dégradant».
Il est possible de passer par un tel traitement lors de concerts, beaucoup de personnes sont inspectées avec un détecteur de métal … Cela montre le niveau de pertinence des gens de B’Tselem et la gauche en générale.
