Washington alerte : le Hamas planifierait une attaque contre des civils palestiniens Ă  Gaza

Selon des informations obtenues par les agences américaines et confirmées par plusieurs médias, Washington a averti ses partenaires du Proche-Orient que le Hamas préparerait une nouvelle attaque, non pas contre Israël, mais contre des civils palestiniens. Cette alerte, transmise dans la nuit du 18 au 19 octobre, menace directement la fragile trêve établie après les derniers accords de cessez-le-feu à Gaza.

« BREAKING: The United States has warned that Hamas is planning a new attack in Gaza — this time targeting Palestinian civilians. Washington has alerted the guarantor countries of the Gaza peace deal, saying such an attack would break the ceasefire agreement and undo the progress made so far. »
(Source : Behold Israel, 19.10.2025)

Selon cette alerte, le Hamas envisagerait d’orchestrer une attaque interne pour accuser Israël ou ses alliés locaux de la rupture du cessez-le-feu, une manœuvre déjà utilisée dans le passé pour manipuler l’opinion publique.
Le département d’État américain a immédiatement informé les pays garants de la trêve — notamment le Qatar, l’Égypte et la Turquie — afin de prévenir tout effondrement du fragile équilibre sécuritaire.

Un avertissement inédit
C’est la première fois que Washington met en garde contre une attaque du Hamas contre sa propre population.
Le communiqué américain, relayé par Reuters et The Wall Street Journal, évoque des informations “hautement crédibles” selon lesquelles des factions internes du Hamas chercheraient à provoquer un chaos civil à Gaza pour reprendre le contrôle de quartiers passés sous influence d’autres groupes, notamment les Brigades des Martyrs d’Al-Aqsa.
(Source : Reuters, 19.10.2025)

Un responsable du Pentagone cité anonymement précise :

« Si le Hamas attaque des Palestiniens, ce sera la preuve qu’il n’est pas un mouvement de résistance, mais un appareil de pouvoir désespéré. »

Analyse — la stratégie du chaos
Pour de nombreux experts, cette menace illustre la crise interne qui secoue le Hamas depuis sa défaite militaire et l’effondrement de son autorité à Gaza.
Selon le chercheur Khaled Abu Toameh, spécialiste du monde arabe (Jerusalem Post), le Hamas est aujourd’hui “un corps sans tête” : ses dirigeants politiques à Doha sont déconnectés, tandis que les commandants locaux rivalisent pour le contrôle des ressources, de la contrebande et des zones humanitaires.

« Quand un mouvement terroriste perd son ennemi extérieur, il finit par se retourner contre lui-même. »

Ce scénario est cohérent avec les rapports récents du Centre Meir Amit sur le terrorisme, qui notent une montée des assassinats internes, y compris contre d’anciens combattants accusés de “collaboration” avec Israël.
(Source : Meir Amit Intelligence Center, octobre 2025)

Les garants arabes sous pression
À Doha, au Caire et à Ankara, la nouvelle a provoqué une onde de choc. Ces trois capitales, garantes de la trêve actuelle, redoutent un effondrement complet du cessez-le-feu, qui ruinerait des mois de médiation.
Un diplomate qatari a déclaré à Al-Arabiya :

« Si cette alerte est vraie, cela prouve que le Hamas n’est plus un acteur politique rationnel. Nous ne pourrons plus le défendre face à la communauté internationale. »

En Égypte, les autorités ont renforcé la surveillance du corridor de Philadelphie et rappelé que “toute rupture de la trêve mettrait en danger les efforts humanitaires” menés conjointement avec Israël.

Réactions israéliennes
Du côté de Jérusalem, la réaction a été prudente.
Le ministre de la Défense Israël Katz a déclaré :

« Si le Hamas massacre ses propres civils, ce n’est plus une résistance, c’est une organisation criminelle. Israël continuera de protéger ses frontières et d’empêcher tout retour à la violence. »

Tsahal maintient sa posture défensive sur la “ligne jaune” à Gaza, tandis que les services de renseignement surveillent de près les mouvements des milices internes.

Analyse géopolitique — un tournant diplomatique
L’avertissement américain change la dynamique régionale.
En reconnaissant publiquement que le Hamas pourrait frapper des Palestiniens, Washington légitime le discours israélien selon lequel le mouvement islamiste représente une menace pour les deux peuples.
Cette position pourrait accélérer la marginalisation du Hamas sur la scène diplomatique et renforcer la coopération entre Israël, les États-Unis et certains pays arabes.

L’alerte américaine n’est pas seulement un signal de sécurité : c’est un avertissement moral. Si le Hamas choisit la terreur contre ses propres citoyens pour survivre politiquement, il confirmera ce qu’Israël affirme depuis toujours : que son véritable ennemi, c’est la vie elle-même. Et dans une région fatiguée de la guerre, le monde commence peut-être, enfin, à comprendre.

Sources principales :


Rédaction francophone Infos Israel News pour l’actualité israélienne
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