Un acte d’accusation a été déposé aujourd’hui contre des terroristes de la bande de Gaza qui se sont infiltrés en Israël et y ont été jugés, révélant l’intrigue concernant « le gazage et la mort d’un bébé présent à une manifestation palestinienne » c’est d’un dirigeant du Hamas, qui a payé la famille de l’enfant pour mentir aux médias.

Le procureur du district du Sud  a soumis un acte d’accusation au tribunal de district de Be’er Sheva contre Mahmoud Omar, un résident de la bande de Gaza de 20 ans, pour des infractions d’une organisation terroriste, formation militaire, utilisation d’armes pour le terrorisme, émeutes, tentative d’infiltration, tentative de nuire à la propriété de l’armée israélienne et déclenchement d’incendies, ce qui constitue un acte terroriste au sein de ses activités dans le cadre des moudjahidines, une branche de l’al-Aqsa, et compte tenu de sa participation à la manifestation de la Marche du retour et des émeutes près de la frontière israélienne près de passage de Karni, couper la clôture de la frontière et mettre le feu à la station de surveillance de l’IDF.

L’acte d’accusation déposé par l’avocat Yoav Kishon, indiquent que, durant 2017 l’accusé a rejoint les moudjahidin, qui est une branche d’al-Aqsa, après avoir promis une aide financière à sa famille. Le défendeur a participé à des activités religieuses des moudjahidin et une formation militaire destinées à former leurs participants à la lutte contre Israël. A la fin de 2017 l’accusé a rejoint une activité de garde armé (Ribat) par les moudjahidin et a été armé d’un fusil Kalachnikov et une cartouche, afin de lutter contre les forces de Tsahal dans  la région.

L’acte d’accusation indique en outre que le 14 mai 2018, l’accusé est allé participer à la marche de retour contre la frontière israélienne dans la région de Saja’iya, dans la bande de Gaza. Quelque 10 000 personnes s’y sont rassemblées, certaines escaladant le mur du passage frontalier de Karni et essayant de détruire les entrées du passage frontalier. Lorsque le prévenu a pris part à une émeute près de la frontière, sa mère l’a appelé et lui a dit que le bébé de sa sœur Miriam, un bébé de 8 mois nommé Leila al-Jandor, est décédé.

Lorsque l’accusé est arrivé chez lui, il a appris que Leila était décédée d’une maladie du sang qui semblait similaire à celle d’un autre petit frère, Salim al-Jandour, décédé en 2017 à un âge similaire.

L’accusé, Anwar, a déclaré aux médias que Leila était morte en raison de l’inhalation de gaz lacrymogène envoyés par les soldats lors de manifestations dans la zone frontalière, ce qui est faux. Le haut responsable du Hamas,  Yahya Sinwar, a payé la famille du bébé 8 000 ₪ pour  répandre la fausse information selon laquelle Leila était morte suite à l’inhalation de gaz lacrymogène pendant les émeutes.

 

2 Commentaires

  1. Surtout ne pas croire à cette info.Tsahal à vraiment tué ce bébé.

  2. ALORS TOUT LE MONDE LE SAIT QUE C’EST VRAI ET TOI IMBECILE DEGENERE VIENT NOUS DIRE DES BETISES…VA TE FAIRE FOUTRE