L’armée israélienne a attaqué une série de cibles au cours des dernières 72 heures au Liban. Lors d’une opération conjointe du Commandement du Nord, de l’Armée de l’Air et de la Division du renseignement, des bâtiments militaires ont été attaqués à partir desquels opéraient des terroristes de l’organisation terroriste Hezbollah, infiltrés importants de l’organisation et à partir desquels des lanceurs ont été tirés sur le territoire de l’État d’Israël.

Dans la journée, des avions de l’armée de l’air ont attaqué un lanceur de missiles sol-air utilisé par le système de défense aérienne du Hezbollah, en réponse aux tentatives de l’organisation terroriste d’attaquer la liberté d’action aérienne.

Lors d’une fermeture rapide et ciblée des cercles de renseignement, de tir et d’aviation, environ 10 escadrons terroristes de l’organisation terroriste Hezbollah ont été attaqués dans le sud du Liban et environ quatre terroristes ont été éliminés.

Baalbak, ce soir photo : réseaux sociaux, selon l’article 27a du droit d’auteur )

Entre-temps, des rapports au Liban font état d’une attaque aérienne au plus profond du Liban. Selon les rapports, un avion de Tsahal a mené une attaque contre une cible de l’organisation terroriste Hezbollah dans la région de Baalbak, au cœur du territoire libanais et à au moins 60 km de la frontière israélienne.

Pour l’heure, aucune victime n’est connue dans cette attaque. Au Liban, on estime que la construction inhabituelle en termes d’emplacement et de distance par rapport à la frontière constitue une réponse à la destruction du drone Hermes 900 de Tsahal plus tôt dans la journée sur le territoire libanais.

Le porte-parole de Tsahal a confirmé que le drone avait bien été intercepté sur le territoire libanais. Dans la déclaration du porte-parole de Tsahal confirmant cet incident inhabituel, il n’est pas précisé qu’il n’y avait aucune crainte de fuite d’informations suite à la chute du prestigieux drone entre les mains de l’organisation terroriste Hezbollah – une déclaration sous serment qui montre qu’il y avait une crainte d’informations divulguées à la suite de l’incident.