Suite à la vague de terrorisme meurtrier, Tsahal a décidé de révoquer plus de 1 000 permis de travail de familles terroristes.
Un haut responsable de l’establishment de la défense a déclaré lors d’une conversation avec des journalistes aujourd’hui : « Nous ne permettrons plus aux familles de terroristes d’entrer dans l’État d’Israël.
L’establishment de la défense a décidé d’augmenter la peine contre les familles des terroristes, en plus de la démolition des maisons, afin de renforcer la dissuasion, et d’informer des milliers de membres de leurs familles, dans un cercle proche et éloigné, sur la révocation d’un permis de travail en Israël. Les proches qui n’auront plus de permis de travail se sont vu refuser aussi un permis de traitement médical en Israël, une visite de membres de leur famille en Israël et des prières sur le mont du Temple.
Selon cette décision, les données de Tsahal montrent que 215 restrictions ont été érigées contre la famille des terroristes qui ont perpétré l’attaque à Ariel, Yahya Marai et Yosef Atzi, résidents de Bnei Hassan, du terroriste Adham Al-Rub, un habitant de Djénine. 78 autres ont été prononcés contre la famille du terroriste Dia Hamarsha qui a perpétré l’attaque à Bnei Brak. Au total, 1 100 Palestiniens se sont vu refuser l’entrée en Israël.
Une source de haut rang de Tsahal a déclaré que l’intensité de la punition était conforme à l’évaluation de la situation. « Cela a été fait après réflexion », a-t-il déclaré.
« Chaque Palestinien qui envisage de choisir la voie du terrorisme sait que l’attaque qu’il commet va blesser gravement sa famille. » Pourquoi permettre au plus grand nombre de Palestiniens de recevoir un salaire israélien respectable si cela fera des compromis sur la sécurité ? Au total, plus de 4 000 Palestiniens sont interdits d’entrée en Israël.