Un véhicule sans pilote des FDI a heurté une voiture circulant sur une autoroute près de la ville de Tyr, au sud du Liban, aujourd’hui vers midi.

Al-Akhbar, un journal proche du Hezbollah, a rapporté, citant le parti chiite, que deux personnes, deux terroristes du Hamas, ont été tuées dans l’attaque. 

Une vidéo d’une voiture détruite en petits morceaux est apparue sur Internet :

 

Puis, vers 14 heures, des rapports ont fait état d’une attaque de Tsahal contre des cibles du Hezbollah dans le sud du Liban, près du village d’Al-Adaiseh. Les cibles étaient un poste d’observation et un lanceur de missiles. Dans la première moitié de la journée, plusieurs lancements de véhicules aériens sans pilote depuis le Liban vers l’espace aérien israélien ont été enregistrés. 

Le Libanais Al-Akhbar a rapporté que quatre personnes ont été tuées dans une attaque à la voiture près de Tyr, dont deux membres du Hezbollah.

 

 

Le principal événement sur le front nord reste la destruction de quatre officiers du CGRI à Damas. Selon la publication iranienne Nur News, proche des renseignements iraniens, les corps de deux tués ont été identifiés : il s’agit du général Sadek Omidzadeh, commandant adjoint des renseignements du Corps Quds du CGRI, et de son adjoint Hajj Gholam.

Des sources de l’opposition syrienne ont déclaré que trois missiles de haute précision avaient été tirés sur un bâtiment de trois étages près de l’ambassade du Liban dans le quartier d’Al-Mezze alors que des officiers iraniens du CGRI tenaient une réunion dans le bâtiment. 

Le ministère syrien de la Défense, comme toujours, a signalé la destruction de la plupart des missiles israéliens. Ce qui n’a cependant pas empêché la tâche d’être accomplie : la maison dans laquelle se trouvaient les officiers iraniens a été entièrement détruite.

Pendant ce temps, Reuters rapporte que des envoyés du CGRI et du Hezbollah libanais sont au Yémen et aident les Houthis à attaquer les navires dans la région de Bab al-Mandab. Selon quatre sources de l’agence, l’Iran a intensifié les transferts d’armes vers le Yémen après les événements du 7 octobre.