La frontière nord d’Israël devient de plus en plus sensible avec la présence de deux nouveaux postes militaire du Hezbollah, avec des terroristes armés. La tente se dresse soit sur la ligne de démarcation, soit même du côté israélien – les opinions exprimées dans les médias divergent sur qui a violé la frontière.

L’activité à la frontière du Hezbollah a commencé à augmenter il y a un an avec une augmentation des forces près de la frontière et du nombre de postes d’observation. 

Des unités d’élite ont été déployées depuis les profondeurs du Liban. Parallèlement, certains postes sont établis « provisoirement » sous l’égide de l’organisation libanaise de « protection de la nature ». 

Une photo aérienne de la présence du Hezbollah en Israël jointe à la lettre de l’ambassadeur d’Israël à l’ONU Gilad Erdan au secrétaire général de l’ONU et au Conseil de sécurité de l’ONU.

Israël travaille diplomatiquement avec plusieurs pays, dont la France et les États-Unis, pour forcer le Liban à quitter les tentes du mont Dov. Jérusalem aurait fixé une date limite avec  le Hezbollah car si il ne retire pas les tentes, Israël agira.

En même temps, les forces de l’ONU qui travaillent dans la zone de délimitation n’ont ni la force, ni l’envie particulière de faire quoi que ce soit avec les tentes. 

Une photo aérienne d’un membre du Hezbollah à l’intérieur du territoire israélien près de la Ligne bleue.

 Tsahal considère cela comme une provocation du Hezbollah, qui pourrait conduire à une escalade. L’armée tente d’influencer l’armée libanaise régulière pour aider à retirer les tentes, mais jusqu’à présent sans succès.